On a pu voir que Martika ne faisait pas l'unanimité et qu'elle était accusée de jouer sur plusieurs tableaux. Qu'en penses-tu ?
Elodie Ortisset de La Villa des Coeurs Brisés : Ce n'est pas un secret, c'est un personnage sulfureux. Bien sûr qu'elle joue sur plusieurs tableaux et je pense qu'elle est dans de l'acting que ce soit dans La Villa ou dans ses interviews. Ce n'est pas surprenant, je pense que le téléspectateur le sait, c'est une actrice.
On peut voir que tu es sortie avec Iam lors du tournage. Qu'est-ce qui t'a fait craquer chez lui ?
Son originalité. Je n'avais jamais rencontré un personnage aussi haut en couleurs et c'est vraiment un mec sympa.
Votre relation a été assez compliquée. Pourquoi avoir été autant jalouse ?
On va se fâcher là (Rires). Je ne suis pas jalouse. Quand on regarde, notamment l'activité kitesurf, c'est peut-être moi qui ait fait preuve de mauvaise foi, mais je suis désolée, si le mec de n'importe quelle nana part faire une activité avec une fille facile, ça ne passe pas. C'était juste que je n'appréciais pas que mon petit-copain fréquente une certaine catégorie de fille.
Penses-tu que Martika voulait plus que de l'amitié avec lui ?
Je ne pense pas, je pense qu'elle est vraiment dans une relation amicale avec lui. C'est juste qu'avec Stéfan, on a fait Secret Story, une émission à plusieurs millions de téléspectateurs. Elle savait très bien qu'en se mettant contre moi, j'allais lui accorder quelques minutes de spotlight. Parce qu'on ne va pas se mentir, aucun garçon n'a voulu d'elle jusqu'à présent. Les palmiers ne sont pas des êtres humains, donc il fallait bien qu'elle existe par d'autres moyens.
Tu en as voulu à Ludivine de discuter avec Iam lors d'une soirée. Pourquoi ?
Lucie, notre Love Coach, m'avait conseillée de sortir d'une pièce, de prendre du recul et de descendre en pression avant de discuter. Mais Iam m'était rentré dans le lard, donc - on me connaît - je suis aussi montée dans les tours. Mais mon reproche allait à Ludivine. Je l'ai trouvée un peu trop proche à mon goût et j'estime qu'il faut mettre des distances avec les copains de tes potes. Se victimiser continuellement comme ça, c'est gonflant. Ludivine jouait la carte de la victime, je pense qu'il faut qu'elle change de registre. Ce n'est pas quelqu'un que j'aimais particulièrement.
Etes-vous toujours en contact avec Iam ?
Je ne peux pas répondre. Tout ce que je dirais, c'est que ce soit en couple ou amical, tu te doutes bien qu'on est quand même en contact. On est très discrets par pudeur.
As-tu eu envie de quitter le programme à un moment de l'aventure ?
Oui, après ma dispute avec Lucie. J'y ai songé, parce que c'est énorme le travail qu'elle te demande de faire sur toi. Ce n'est jamais très agréable de te remettre en question et c'est compliqué. J'avais soit la possibilité d'évoluer et ça allait me coûter, soit partir et rester un coeur brisé Ad vitam aeternam.
Tu as finalement décidé de rester. Que t'as-donc appris Lucie sur toi ?
Plein de choses, mais la plus belle chose c'est d'aimer les gens. Dans la vie, j'aimais les gens, mais d'une manière maladroite et je ne m'en étais jamais rendue compte. Maintenant, je sais que dire je t'aime ou avoir des petits actes de tendresse, ce n'est pas une preuve de faiblesse. Cette rééducation par rapport à mes relations me sert également avec mes amis.
Tu as laissé entendre qu'il s'était passé ou qu'il se passait quelque chose avec Thierry lors d'une interview pour Sam Zirah. Qu'est-ce que c'est que cette histoire ?
On est hyper second degré. Thierry est une super belle rencontre, donc il se passera des choses toute notre vie entre nous (rires). C'est un très bel homme, super sympa, drôle et attachant. Honnêtement, si j'avais été un peu plus âgée ou s'il avait été un peu plus jeune, j'aurais pu être séduite par un mec comme Thierry. Il a vraiment une belle personnalité.
Lors de notre dernière interview, tu nous a parlé de ton association Bienvenue chez nous. Où en est ce projet ?
Ooooh, qu'est-ce qu'on galère (rires). Ça avance. Là, on a notamment monté un projet éducatif pour la ville de Montauban, qu'on a développé avec deux écoles pour commencer. Parce qu'on ne veut pas couvrir sur toute la ville. On veut sensibiliser les jeunes sur tout ce qui est web-harcèlement et compagnie. Après, le pôle social continue, mais c'est vrai que pour lancer les activités, on s'est vraiment axé sur les projets éducatifs de ce type. La Mairie est en train de nous rechercher de vrais locaux, donc on va prochainement avoir de vrais bureaux. On est super contents. On ne s'arrête jamais, si ce n'est pas du pédagogique, c'est de l'administratif ou de la gestion. Mais c'est génial, c'est une aventure qui est extraordinaire. Le site Web arrive très prochainement.
Propos recueillis par Atika Nasri. Contenu exclusif. Ne pas mentionner sans citer Purebreak.com