C'est la série la plus chaude de 2025, son tournage était-il difficile pour les acteurs ? "Lorsqu'on nous demande de nous déshabiller..."

Adaptée de la saga littéraire du même nom écrite par Emily Blaine, Dear You est la série événement de ce mois de février 2025. Et pour une fois, ce n'est pas sur Netflix que ça se passe, alors même que la plateforme de streaming est autant habituée à la rom-com classique (Emily in Paris, Plan Coeur) qu'à la rom-com très hard (Sex/life, 365 Jours). Non, c'est Amazon Prime Video qui vient de se tester au genre.

Au programme de cette production française portée par Carla Poquin et Terence Telle ? On y suit les aventures romantico-sexy d'Alma, une jeune parisienne qui, la faute à son travail dans un palace et à un entourage énergivore, galère à trouver l'amour.

C'est effectivement le point fort de Dear You, la série n'hésite pas à nous plonger directement dans la vie intime des personnages afin de mettre en avant leurs envies, besoins et pratiques habituelles. De quoi ouvrir un nouveau regard sur l'intimité de la jeunesse et de ses différents codes.

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Une ambition intéressante à suivre, mais était-elle facile à assumer sur le plateau ? C'est ce qu'a tenté de savoir Télé-Loisirs en interrogeant Terence Telle (Naïm) sur le tournage de ces scènes osées.  "Pour être tout à fait honnête, je n'ai plus d'appréhension par rapport à ça, a confessé le comédien, bien plus expérimenté aujourd'hui qu'à ses débuts sur TF1. C'est vrai qu'au tout début, dans Ici tout commence, pour le premier bisou que j'avais dû faire devant la caméra, je n'en avais pas dormi la veille".

Qu'est-ce qui a changé sur cette production ? S'il reconnait que "dans Dear You, c'est quand même beaucoup plus hot", lui et sa partenaire de jeu, Carla Poquin, ont néanmoins eu la chance d'être parfaitement encadrés. "On avait une coordinatrice d'intimité qui était avec nous, et qui nous a mis très à l'aise, a-t-il expliqué. C'était chorégraphié. On s'est dit avec Carla, sur quoi on était plus ou moins ouvert, dans la gestuelle".

Un soutien important puisque, comme il l'a rappelé, ce genre de séquences n'est jamais anodin : "C'est vrai que lorsqu'on nous demande de nous déshabiller et de s'embrasser, ça demande un certain lâcher prise." Heureusement, grâce à une telle aide et une bonne complicité avec l'interprète d'Alma, le tournage ne lui a jamais paru aussi simple : "Aujourd'hui, je n'ai plus aucun souci avec ce type de scènes".