Le 5 juillet 2016, on apprenait qu'il était placé en détention provisoire à Grasse, dans les Alpes-Maritimes, pour violences, harcèlement et menaces de morts. L'une des plaignantes n'est autre que Hinda, son ex-compagne, ayant porté plainte pour appels téléphoniques malveillants, menaces de mort réitérées, harcèlement et violences.
"Il n'accepte pas la rupture. J'ai perdu mon emploi de directrice dans une boutique de luxe sur la Croisette car il venait toute la journée m'insulter sur mon lieu de travail. Le scandale continuait ensuite en bas de ma résidence. Il jetait des pierres sur ma terrasse. Partout où j'allais, il était là. J'ai vécu l'enfer pendant deux ans. À mes yeux, c'est un monstre, il est dangereux pour les femmes.", témoignait-elle à la barre du tribunal correctionnel de Grasse. Il aurait passé jusqu'à 131 appels en une journée.
S'il a déjà été condamné à 3 mois de prison avec sursis pour violences, harcèlement et vols, assortis à une mise à l'épreuve de 5 ans, cette fois, la sentence est bien plus sévère. Et pour cause, le bel Italien a été condamné à deux ans de prison ferme, dont un avec sursis, et un maintien en détention. Il devra aussi verser 4 000 euros de dommages et intérêts à sa victime.
Un expert est intervenu pour dresser le profil du prévenu: une personnalité narcissique, sans empathie avec un côté caricatural, qui aime se mettre en scène. Pour sa défense, Giuseppe a déclaré que l'on faisait tout ça uniquement pour son argent...