Purebreak : Comment s'est passé ton départ de Skam France ?
Axel Auriant : Très bien. Intimement, je sais pourquoi je suis parti. Même si j'ai grandi avec Lucas, je trouve ça très beau les départs, c'est synonyme de quelque chose d'autre après. Je trouvais ça bien aussi de passer à une génération plus jeune, même pour l'intérêt de la série. Qu'on laisse notre place à un moment donné. C'était intéressant. Et puis, j'avais envie de découvrir d'autres projets. Il fallait faire choisir. Je pense être arrivé au bout d'un cycle et je ne me voyais pas continuer avec quelqu'un d'autre que David (Hourrègue, l'ancien réalisateur de Skam France, ndlr).
Je n'ai pas de regret
Ça te manque ?
J'ai vécu à fond cette expérience et puis avec Maxence [Danet-Fauvel], on s'est retrouvé dans un tourbillon tellement énorme. C'était intense. Je n'ai pas de regret. J'ai tellement profité, ça m'a apporté plein de belles choses. Il y a des moment où je me remets des séquences de la saison 3, j'envoie des messages à Maxence. Quand on se fait reconnaître dans la rue presque tous les jours, c'est trop cool. On a vraiment un truc de fou.
Tu es encore en contact avec les acteurs ?
Oui, bien sûr. Je vois tout le temps Maxence, je l'ai aussi souvent au téléphone. Là, je tourne avec Robin Migné et Paul Scarfoglio dans un moyen métrage qui s'appelle Les mains vides, avec Guillaume Gallienne. En noir et blanc, dans les années 40. Je suis tellement heureux de le retrouver.
Que penses-tu des nouvelles saisons ?
Y a vraiment du renouveau. Tout a changé et je trouve ça très intéressant. C'est vraiment quelque chose d'autre, on est dans un univers différent. Ils ont gardé l'esprit de la série, mais ils en ont fait quelque chose qui leur ressemble. Je trouve ça assez fort, et puis, il n'y a pas cet effet de comparaison avec nos saisons.
Propos recueillis par Lola Maroni. Contenu exclusif. Ne pas reproduire sans citer PureBreak.com.