Lancée en 2012 aux USA, Beauty and the Beast remet au goût du jour une histoire que l'on connait bien. Attention cependant, la série n'a rien à voir avec un conte de fée façon dessin animé. Zoom sur une série qui a fait ses preuves outre-Atlantique.
Après Disney et la version de Once Upon a Time, c'est dans un tout autre contexte que nous retrouvons la Belle (Catherine) et la Bête (Vincent). Catherine est détective à New York tandis que Vincent se cache, victime d'expérimentations du Gouvernement qui ont fait de lui un monstre. Beauty & the Beast est en fait le reboot de la série du même nom diffusée en 1987 aux Etats-Unis.
Etre une bête et un beau-gosse, c'est possible. La preuve, Jay Ryan interprète un personnage à la fois sexy et monstrueux. Quand il n'est pas transformé, Vincent arbore simplement une cicatrice sur le visage. Une chose qui avait fait l'objet de nombreuses critiques avant la diffusion de la série aux Etats-Unis.
Beauty and the Beast marque le retour sur le petit-écran de Kristin Kreuk. L'actrice est connue pour avoir incarné le rôle de Lana Lang dans Smallville (également diffusée sur la CW). Après son départ de la série (maintenant annulée) avec Tom Welling, Kristin Kreuk avait été aperçue dans Chuck et dans la minisérie Ben-Hur.
Si l'on pourrait croire à une série romantique, Beauty and the Beast est en fait... un procédural (c'est-à-dire que la série suit des enquêtes chaque semaine). Bien évidemment, le côté romantique est là, Vincent et Catherine vont se rapprocher au fur et à mesure des épisodes, mais ce sont les enquêtes qui dominent.
Lors de la création du projet autour de Beauty and the Beast, ce n'est pas un mais deux projets autour de ce conte qui étaient en compétition (celui de la CW et celui d'ABC). Si c'est la CW qui a rafflé la mise, Kristin Kreuk aurait également été approchée pour la version de la chaîne concurrente.
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