Toujours dans la compétition Danse avec les stars 9 sur TF1, aux côtés d'Anthony Colette, Iris Mittenaere a également sorti un livre intitulé Toujours y croire, aux éditions HarperCollins. Invitée à en parler dans Les Terriens du samedi sur C8 ce week-end, Miss Univers 2016 s'est confiée sur son parcours qu'elle a détaillé dans son bouquin. Et Thierry Ardisson l'a notamment questionnée sur le divorce de ses parents, survenu lorsqu'elle était à peine âgée de trois ans. Suite à cette séparation, sa mère a dû déménager de Lille à Steenvoorde.
Là-bas, Iris Mittenaere a grandi avec son frère, sa soeur et leur maman. Une famille unie malgré le divorce, mais qui vivait dans des conditions précaires. Comme l'a écrit l'ex étudiante en chirurgie dentaire, ils n'avaient pas d'eau chaude, pas de four et deux prises de courant.
"Oui, c'était minimaliste" a-t-elle ajouté sur le plateau de l'émission, "mais en fait on s'en rendait pas vraiment compte parce que ma mère elle est hyper positive. On avait l'impression de jouer à des jeux en fait. Elle nous disait : 'Bon on va faire cuire les pommes de terre dans la cheminée'. Et nous on trouvait ça super cool. En fait on ne se rendait pas compte que c'était parce qu'on ne pouvait pas faire cuire les pommes de terre parce qu'on avait pas de four".
En plus de la pauvreté, la jeunesse d'Iris Mittenaere est touché par un autre problème : le manque de confiance en elle. Pour quelle raison ? A cause de son complexe, celui de se trouver trop mince par rapport aux autres enfants. Ses camarades la surnommaient alors "pic à brochette".
"Je me trouvais vraiment pas jolie" a avoué celle qui est désormais reine de beauté au niveau national et mondial, "il m'a fallu du temps pour m'accepter et pour me trouver un peu jolie". Forte de ses expériences passées, la jeune femme rayonne aujourd'hui d'assurance et continue d'avancer en multipliant les projets. Après deux grandes élections remportées, la co-animation de Ninja Warrior, un livre et une participation à DALS, plus rien ne semble l'arrêter.