La nouvelle a été annoncée cette semaine, c'est le 22 février 2022 que TF1 débutera la diffusion de Koh-Lanta, le Totem maudit, la nouvelle édition de son émission d'aventure. Le twist ? A l'instar de la récente version All Stars qui s'est retrouvée au centre de nombreuses polémiques en 2021, les épisodes seront diffusés chaque mardi soir. Une décision qui a encore une fois provoqué la colère du public, habitué depuis des années à débuter son week-end en compagnie de Denis Brogniart, mais également de Cyril Hanouna.
Très remonté contre cette improbable décision de la chaîne, l'animateur de TPMP n'a pas hésité à pousser un coup de gueule sur son plateau. Ce mercredi 2 février 2022, à l'occasion d'un débat lancé autour du programme, Cyril Hanouna a dans un premier temps ironisé sur ce choix, "Koh-Lanta, le mardi encore ! Ca veut dire que pour voir l'épreuve des poteaux, t'es sûr de devoir prendre un RTT le lendemain. Ca commence à me courir sur le haricot".
Puis, l'animateur - conscient que les graves bad buzz liés à l'édition All Stars ont pu nuire à l'image de Koh Lanta, s'est posé des questions sur les rapports de TF1 avec la production du jeu, mais également sur sa stratégie pour le futur, "Je pense qu'ils en veulent à la marque. (...) C'est TF1 qui décide. (...) Je ne comprends pas. Je ne sais pas ce qu'ils veulent pousser. Peut-être Stars à domicile".
Enfin, l'animateur s'est également montré surpris par le manque de soutien d'Alexia Laroche-Joubert, productrice emblématique de Koh Lanta. Tandis que l'an passé elle avait déclaré ne pas apprécier l'idée d'une diffusion en milieu de semaine, Cyril Hanouna s'est étonné de son manque de réaction ici, "C'est une bonne élève. On lui dit : 'C'est mardi', elle dit 'Ok, c'est le mardi'. Si on m'avait dit que c'était le mardi, j'aurais dis : 'On arrête tout !'"
Certains chroniqueurs ont en revanche laissé entendre qu'il pourrait s'agir d'un compromis de sa part avec la chaîne : en échange d'un changement de case, TF1 accepterait ainsi de commander de nouvelles saisons du jeu. Un mal pour un bien ? A suivre...