Il y a quelques jours, Martika Caringella s'est retrouvée dans la sauce en affirmant qu'elle était partie en voyage humanitaire au Sénégal, alors qu'en fait, il s'agirait simplement d'un séjour organisé par son agence We Events.
"Ce n'est pas du tout un voyage humanitaire en fait, c'est un voyage qui a été organisé par l'agence. Les marques sponsorisent ce voyage. Quand j'ai dit voyage humanitaire c'est pour mon expérience personnelle, s'était-elle ensuite justifiée après la polémique. Je n'ai jamais voyagé dans un pays africain et je suis ravie de venir ici découvrir les différentes cultures et visiter les magnifiques paysages. Donc non, ce n'est pas un voyage humanitaire, mais c'est un voyage humanitaire pour moi, pour ma propre personne. Le fait de m'ouvrir au monde comme ça, pour moi c'est une expérience magnifique". Clairement, celle qui s'est récemment clashée avec Jazz Correia ne connaît pas la définition de "voyage humanitaire".
Preuve que ces vacances n'ont absolument rien d'humanitaire pour les influenceuses, elles ont ramené dans leurs valises leurs pires habitudes, faisant basculer ce voyage dans une autre dimension cette semaine. Alors qu'elles allaient faire les courses, une énorme dispute a en effet éclaté entre Martika et Selma de la Ricci Family, suivie par plus de 420 000 abonnés sur Instagram. En cause ? Une histoire de caddie.
Et forcément, dans un réflexe improbable,Sarah Fraisou, présente à ce moment-là, a préféré tout partager de ce clash plutôt que de les séparer. "Ça part en bagarre !", a notamment halluciné celle qui a choqué tout le monde avec sa transformation physique.
Peu après, une fois que tout le monde a repris ses esprits, elle a pris la parole "Si j'ai un conseil à vous donner, si vous êtes confrontés à ce cas de figure dans votre vie, prenez du recul, laissez les gens s'expliquer, gardez un oeil extérieur." Et d'ajouter plus loin pour mieux légitimer son voyeurisme : "Ça ne sert à rien de laisser les gens en venir aux mains, mais pour moi, le fait de tenir les personnes, de séparer, ça fait vite paniquer (...) Donc en fait, il faut les laisser s'exprimer et ensuite parler si y a besoin. Mais là regardez, ça servait à rien que je m'en mêle".
Heureusement que Sarah Fraisou n'est pas avocate, les prisons seraient remplies.