Purebreak : Peut-on espérer votre retour dans Demain nous appartient ?
Guillaume Faure : Dans ce type de programme, c'est toujours une éventualité. Honnêtement, je ne savais pas trop dans quoi je m'embarquais avec Demain nous appartient. Je me suis concentré sur le personnage. Je trouvais qu'il était hyper intéressant et complexe. Je me suis vraiment éclaté. J'ai adoré mes camarades, c'était un bonheur. Quand ils m'ont rappelé six mois plus tard pour revenir, je leur ai tout de suite dit un grand oui. Maintenant, si Marc Véry a l'intention de revenir sévir à Sète, pourquoi pas, ça dépendrait dans quelles conditions. Je ne ferme pas la porte. C'était très agréable de travailler avec tout le monde.
Vous êtes en contact avec Lorie Pester ?
Oui, on a passé pas mal de temps ensemble en cellule. On a vécu une très belle aventure. Je suis aussi encore en contact avec Samy Gharbi. Il y en a beaucoup qui sont devenus des amis.
Dans Demain nous appartient et Clem, vous jouez deux personnages complexes. Ces rôles vous correspondent plus ?
J'ai l'impression d'être quelqu'un de plutôt sympa (rires). Je me retrouve toujours avec des rôles assez chargés. C'est important de savoir ce qu'on inspire chez les autres. J'espère que je n'inspire pas que des tueurs en série ou des gens tordus. En tout cas, je suis content qu'on me les propose. Ils sont toujours très intéressants à jouer. J'ai aussi joué un personnage très particulier dans Olivia, la nouvelle série de TF1.
Quelles sont les différences entre une série quotidienne comme DNA et une série comme Clem ?
Le rythme n'est pas le même. La particularité de Demain nous appartient est qu'il y a trois équipes qui tournent en même temps et que, potentiellement, un comédien peut tourner avec trois réalisateurs dans la même journée. C'est assez particulier en tant qu'acteur parce qu'on est habitué à échanger avec un seul réalisateur. Sur une quotidienne, on est un peu plus propriétaire de notre personnage.
Est-ce que vous seriez partant pour rejoindre les séries Un si grand soleil et Plus Belle la vie ?
Je ne sais pas. J'ai des amis qui jouent dans Un si grand soleil, ils sont très heureux. Plus j'avance, plus je ferme de portes parce que ce qui m'importe, c'est de me frotter à des personnages qui m'intéressent et de partager des bons moments de jeu avec des camarades et des gens que j'apprécie.
Propos recueillis par Lola Maroni. Contenu exclusif. Ne pas reproduire sans citer PureBreak.com.