C'est officiel, Familles nombreuses, la vie en XXL revient prochainement pour une saison 4 sur TF1 et TFX ! Les Santoro, les Gayat, les Van Der Auwera, les Bambara, les Pellissard les Weiner, les Gonzalez, les Dol et les Lebon vont donc continuer à partager leur quotidien avec les téléspectateurs. L'occasion de découvrir la naissance d'Alba, la petite dernière des Santoro, le mariage d'Ambre et Alexandre Dol ou encore le baptême des enfants Pellissard. En attendant de découvrir de nouvelles aventures, vous pouvez toujours suivre les familles sur les réseaux sociaux.
Amandine Pellissard a d'ailleurs partagé une récente mésaventure avec une employée de la CAF qui n'a pas hésité à usurper son identité et collecter ses données personnelles avec des captures d'écran de son compte "afin de les utiliser, de les diffuser". Après son premier coup de gueule, la participante à Familles nombreuses, la vie en XXL a révélé la suite de cette histoire hallucinante : "C'est tellement honteux, inadmissible de la part d'une administration comme la CAF. Suite à la prise de parole que j'ai faite ce week-end, j'ai eu un retour d'un des protagonistes de cette affaire, qui était au fait des agissements de cette dame."
Amandine Pellissard, enceinte de son 9e enfant, a ensuite confié : "C'est un excès de curiosité foncièrement malsain. Si ce n'était que de la curiosité, elle aurait pu se contenter de le consulter sur son PC, et ne pas prendre des photos avec son téléphone personnel. Or, c'est ce qu'elle a fait : elle a fait des photos de son PC professionnel, dans son bureau de la CAF – il y a même la photo de son tampon CAF avec son nom dessus - avec son téléphone personnel. Je n'ai aucune garantie que mes données n'ont pas été divulguées dans son cercle privé, parce que c'est quelqu'un qui aime à priori beaucoup spéculer sur la vie des autres..."
La CAF, où travaille la personne en question, a été avertie de la situation illégale, mais n'a pas donné suite avec une sanction disciplinaire : "Elle n'a même pas été licenciée pour faute grave. La situation a été clairement minimisée, étouffée", explique avec colère Amandine, jugée sur les allocs, avant d'ajouter : "Il va de soi que je dépose plainte contre cette personne et que ça se règlera au pénal. Elle encourt cinq ans de prison et 300 000 euros d'amende. Elle sera condamnée et licenciée. Parce que cette personne malsaine n'a pas à être en possession des données personnelles des allocataires."