1,7 millions d'abonnés et 149 434 428 de vues, ce sont les chiffres impressionnants d'Horia avec sa chaîne sur YouTube. De quoi faire de la jeune femme l'une des plus influentes sur la plateforme et plonger sa vie dans un tout autre univers. Car si elle confie à LCI adorer son métier de YouTubeuse : "C'est toute ma vie. C'est mon job mais c'est ma passion avant tout. Je me lève pour ça le matin, j'adore ce que je fais et je suis épanouie", elle ne cache pas que celui-ci peut parfois être pesant dans ce qu'il implique.
Premièrement, elle a dû s'habituer à être nomade et à ne pas avoir une seconde à elle : "Je suis beaucoup en déplacement. Je n'habite pas sur Paris donc je fais beaucoup d'allers-retours. Je vis entre deux valises". Deuxièmement, même si elle adore partir à la rencontre de ses fans : "C'est dingue de pouvoir les rencontrer. C'est trop bien, c'est trop d'amour et de bonne humeur", elle confesse qu'être une figure publique n'est pas toujours facile à assumer : "Parfois c'est compliqué de se faire suivre dans la rue, de toujours faire attention. Quand je rentre chez moi, je dois faire attention parce que je n'ai pas envie que l'on connaisse mon adresse, c'est normal. Parfois c'est compliqué".
Heureusement, ces petits soucis ne sont rien à côté de ce que lui apporte sa carrière. D'après Horia, son expérience sur YouTube est probablement ce qui lui est arrivée de mieux : "Il y a des gens bienveillants autour de moi, de la bonne humeur. Ça me donne confiance en moi, ça m'a permis aussi d'être un peu plus féminine parce que j'étais un peu garçon manqué quand j'ai commencé Youtube. Donc finalement ça m'apporte plein de choses." Et si son succès devait prendre fin ? Ce n'est pas grave : "Tant que je m'éclate à faire ce je fais, je continue, même si on arrête de me regarder ou que je ne gagne plus d'argent, si j'aime ce que je fais, je continue." Une phrase pleine de bon sens qui nous rappelle qu'avant d'être un métier, faire des vidéos sur YouTube c'est une passion.