L'actrice Mary-Louise Parker aurait-elle un petit peu trop pris son rôle de Nancy de Weeds au sérieux ? Alors que son personnage dans la série est une dealeuse de drogue, il n'est pas impossible, selon 20 minutes, que son côté "bad girl" ait eu quelques influences sur la vie de la comédienne. Les accusations ? Homophobie et menaces de mort, rien que ça.
La colère de trop
Tout a commencé à New York, lorsque Mary-Louise Parker, qui a récemment fait ses adieux aux téléspectateurs avec sa série Weeds, a décidé de visiter la boutique d'un antiquaire. Si jusque-là ce petit shopping se déroulait parfaitement, une altercation aurait malheureusement éclaté entre l'actrice et le propriétaire du magasin, en janvier dernier.
Les menaces de Mary-Louise
Et si certaines personnes peuvent se contenter de petites insultes banales, celle-ci lui aurait notamment envoyé des insultes homophobes mais surtout, une grosse menace. Cette dernière est tellement forte (et un peu drôle quand on y pense), qu'on imagine bien Tarantino l'écrire : "Tu veux te réveiller demain matin ? Je n'ai qu'un coup de téléphone à passer pour que cela n'arrive pas."
Une fausse version ?
Oui ça ne rigole pas. Toutefois, le porte-parole de la comédienne dément bien évidemment les faits et affirme que le propriétaire du magasin veut simplement surfer sur son nom pour se faire de l'argent. D'après lui, s'il y a bien eu une petite embrouille, celle-ci ne concernait que lui et l'une des amies de Mary-Louise. Cette dernière aurait d'ailleurs préféré quitter le magasin avant que la situation n'empire.
Problème de stars
Par conséquent, cette version ne devrait pas être trop difficile à confirmer ou non, grâce aux caméras de surveillance. Toutefois, si Mary-Louise Parker ne souhaite plus se retrouver au milieu d'une autre dispute, elle ferait mieux de changer d'amies... Au moins, elle n'a pas fait d'aussi grosses polémiques que Depardieu et son départ en Russie ou encore Mark Salling, l'acteur de Glee accusé d'agression sexuelle.
Oui, une star est finalement comme tout le monde : un gros caractère mais avec beaucoup plus d'argent...