Anaconda aurait pu être un hommage aux célèbres attributs de Thierry Henry , mais il n'en est rien. La chanson, et surtout le clip, se concentrent plutôt sur les fesses de Nicki Minaj et de ses copines danseuses. Exclusivement. Ca change de ses photos topless sur Instagram. La pochette choc du single était donc un spoiler.
Au programme : du twerk, des fesses, du twerk, des fesses, du twerk... Vous avez compris. Frottage et remuage de fesses contre le sol, contre les murs, en l'air, fesses contre fesses... La princesse du twerk Miley Cyrus peut se rhabiller. Ah non, on oubliait ! Nicki nous offre également des scènes dignes d'un porno avec la dégustation gourmande d'une banane, des jeux à base de chantilly déversée un peu partout, sur ses seins et ses fesses de préférence.
Puis vient le moment où Drake débarque pour jouer le guest pour son ancienne ennemie. Que peut bien faire Miss Minaj avec le rappeur adoré par Lorde ? On vous aide, ça commence par "frottage" et ça finit par "fesses". Vous pouvez mettre "de" au milieu. Quant au canadien, il nous offre un jeu d'acteur impressionnant, avec deux uniques expressions : la main contre la bouche pour éviter de baver, et les mains entre les jambes pour retenir sa joie.
Et côté paroles au fait, ça donne quoi ? Le refrain résume bien la chanson, avec cette phrase en boucle : "Oh my gosh, look at her butt", assez claire pour que même les non anglophones n'aient besoin de traduction. Le dernier couplet mérite lui aussi d'être cité :
Yeah, he love this fat ass
Yeah, this one is for my bitches with a fat ass in the fucking club
I said, where my fat ass big bitches in the club?
Fuck the skinny bitches, fuck the skinny bitches in the club
I wanna see all the big fat ass bitches in the motherfucking club