Un sondage réalisé par Ipsos en 2014 révélait que 4 Français sur 10 ont peur de se disputer en plein repas de Noël. Et c'est vrai que les situations les plus cocasses et embarrassantes peuvent se produire durant un repas de Noël en famille. Car la famille, même si on l'aime très fort, n'est pas toujours un cadeau.
Parmi les causes de "malaise" lors d'un repas de Noël, on retrouve bien évidemment la grand-mère qui ne sait pas dire non à l'alcool. "Allez, encore un petit verre mamie ?", "Mais bien sûr". Et c'est le début de la fin. A force d'enchaîner les verres de vin aussi rapidement que les roulés aux saucisses, la grand-mère peut rapidement se retrouver à dévoiler un dossier gênant sur toi, danser sur la table, parler de sa vie sexuelle avec papy ou encore manger tous les chocolats de la boîte prévus au dessert.
Les tontons sont gentils, mais parfois, ils peuvent être lourds. En particulier lors des repas de Noël quand ils veulent raconter leur tendre enfance à coups d'anecdotes déjà vues, revues, re-revues et encore revues. Au bout d'un moment, on n'a qu'une envie : boire pour oublier qu'on a (encore) entendu la même histoire pour la 250.000ème fois.
Le champagne, il n'y a certainement rien de meilleur ! Quelques bulles de bonheur et tout vous paraît beaucoup plus rose. Mais attention à la coupe de trop qui pourrait vous mener à vomir votre repas dans les toilettes ou vous faire trébucher sur le sapin que mamie a passé 3 heures à décorer.
Qui n'aime pas les desserts ? Une bonne bûche de Noël c'est tellement bon. Mais quand c'est la belle-mère qui ne sait pas faire cuire un oeuf qui s'est chargée du dessert, forcément ça effraie. Parce qu'autant une bûche au chocolat c'est délicieux, mais quand c'est belle-maman qui l'a cuisinée, elle peut facilement être comparée au kloug du Père Noël est une ordure. Et là, ça donne forcément beaucoup moins envie...
Les repas de Noël c'est en famille et qui dit famille dit : les petits cousins et cousines. Alors quand ils sont grands et/ou sages, c'est bien, mais le plus souvent ils sont encore petits et insupportables. Cris, pleurs, bave... Ils ne nous épargnent rien, même le 25 décembre.