PewDiePie toujours plus riche. Il y a un an, le Wall Street Journal révélait que le premier YouTuber du monde - avec 37 millions d'abonnés - avait touché près de 4 millions de dollars (environ 3 millions d'euros) en 2013, grâce notamment aux revenus générés par la publicité affichées dans ses vidéos Let's Play (des séquences de jeu commentées). Un salaire que le passionné de gaming aurait presque doublé depuis, si l'on en croit L'Expressen.
D'après le journal suédois, la star du web - Felix Kjellberg de son vrai nom - aurait gagné 63 millions de couronnes en 2014... soit 7.5 millions de dollars. Une fortune astronomique qui a fait des jaloux puisque peu de temps après la publication de cette information, reprise en masse sur la Toile, PewDiePie a été la cible de très nombreuses critiques d'internautes. Certaines personnes lui reprochent notamment de ne pas mériter tout cet argent.
Choquée par les réactions que son possible salaire a entraîné, le jeune homme de 25 ans a tenu à adresser un message à ses détracteurs. "L'argent est un sujet que j'ai fait exprès d'éviter depuis que j'ai commencé à faire des vidéos il y a 5 ans. Pour moi, ce n'est pas important. Je veux juste faire des vidéos divertissantes", explique-t-il dans une vidéo partagée sur sa chaîne YouTube. Et de revenir sur les attaques entourant son compte en banque : "Des gens sont en colère. Ils pensent que ce n'est pas juste. Ils pensent que je ne fais que m'asseoir et crier devant mon écran - ce qui est vrai - mais non, je ne fais pas que ça."
"Je comprends que les haters me détestent. Mais je pense vraiment que l'argent ne rend pas heureux. Je suis aussi heureux que je l'étais il y a 5 ans. Je suis content de ne plus avoir à me soucier de payer mon loyer", ajoute-t-il, après avoir évoqué son job de vendeur de hot dog qui lui a permis de payer l'équipement nécessaire à la réalisation de ses premières vidéos. Preuve qu'il doit sa réussite pas seulement à de la chance mais aussi à beaucoup d'investissement. Ce qui est sûr, c'est que la fortune de PewDiePie n'a pas fini de faire parler.