Il y a quelques jours, une information sortie de nulle part a surpris et inquiété de nombreux internautes. La raison ? Il était annoncé sur certains comptes Instagram plus ou moins suivis que Vanessa Lawrens - candidate emblématique de l'émission Les Anges, aurait récemment séjourné à l'hôpital après avoir supposément fait une overdose. Une révélation choquante, mais également... totalement fausse.
Mise au courant de ces rumeurs, Vanessa Lawrens a en effet profité de ses réseaux sociaux pour rassurer ses fans sur son état, "Pour toutes les personnes qui m'envoient des messages, ne vous inquiétez pas. Je n'ai en aucun cas fait d'overdose !" Elle l'a au contraire assuré, elle va donc très bien et vit une vie classique aujourd'hui, "Je suis chez moi, dans ma maison que je suis en train de construire. (...) Je n'ai aucun souci de santé !". De quoi soulager ses fans, même si cette histoire est encore loin d'être terminée.
Celle qui n'a jamais hésité à dévoiler les coulisses de la télé-réalité n'a pas caché sa colère devant ces mensonges. Lassée de se retrouver au centre des pires rumeurs, "J'en ai marre qu'à chaque fois qu'une personne cherche à faire du buzz, on mette 'Vanessa', 'drogue', ou n'importe quel candidat de télé-réalité !", elle a donc décidé de contre-attaquer d'une façon très forte.
"J'ai pris un avocat ! Je ne vais plus rien laisser passer. Je vais porter plainte pour diffamation ! C'est trop facile, a-t-elle notamment expliqué. Je prends rarement la parole, mais là, c'est trop ! J'ai de la famille et des amis, à qui je ne réponds pas forcément de suite, qui se sont inquiétés. Respectez-nous !"
Après tout, si elle ne cache pas avoir "fait des erreurs quand [elle] était jeune", Vanessa Lawrens ne compte pas laisser son nom et sa nouvelle vie être trainés dans la boue par certaines personnes malintentionnées, "Aujourd'hui, je n'habite plus à Paris. J'habite dans le sud avec quelqu'un et je construis ma maison. Je vais poursuivre tous les blogueurs qui ont sorti de la merde pour diffamation !"
Pour rappel, la diffamation publique est punissable par une amende de 12 000 €. Selon les cas, les peines peuvent aller jusqu'à 1 an de prison et 45 000 € d'amende.