Rien de pire que de revoir son ex parfois. Surtout quand il est légèrement toxique. Une superstar pourrait en témoigner : Grimes. La chanteuse la plus futuriste de l'industrie musicale a partagé auprès du magazine Wired - la Bible de la tech - ses derniers échanges avec son ancien compagnon, un certain Elon Musk...
Et on aurait presque envie de proposer un bingo tellement le témoignage est lunaire. Ainsi, l'artiste canadienne aurait interrogé le patron de Twitter sur ses opinions à propos de la transidentité. Rappelons que le PDG n'est pas vraiment apprécié de la communauté LGBTQ. On les comprend. La fille transgenre d'Elon Musk se serait justement éloignée de ce dernier à cause de certaines... Divergences. Elle a coupé les ponts avec lui.
Qu'à cela ne tienne, Grimes aurait décidé "d'aller au coeur des problèmes" en compagnie de son ex. "Nous avons eu une longue conversation", tease-t-elle auprès de Wired. Résultat ? Elle aurait conclu après quelques échanges : "Tu ne détestes pas les personnes trans, tu détestes les woke !".
Reste à savoir si c'est une bonne nouvelle ?
Si à certaines questions trop intimes Grimes préfère préciser "Je ne veux pas trop en parler", la chanteuse de 35 ans s'évertue en tout cas à l'affirmer : elle voulait vraiment "disséquer la raison pour laquelle Elon était si stressé à ce sujet", rapporte Entertainment Weekly. A savoir, au sujet de la transidentité, des personnes trans, et de leur cause. A l'écouter, Elon serait bien plus anti-woke qu'anti-trans. C'est déjà ça ?
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Grimes elle-même ne serait "probablement pas" une personne "woke", selon ses propres termes. "Elon est juste tout le temps sur Twitter, et il est mécontent de voir des woke partout, et des disputes ont forcément lieu", décrypte la Canadienne, qui constate que "les gens n'aiment pas parler d'Elon".
"Woke" est un terme très galvaudé aujourd'hui. Il désigne globalement les personnes "éveillées" : aux enjeux de société, aux luttes contre le racisme, la grossophobie, le sexisme, les discriminations diverses, aux enjeux climatiques, aux accusations de violences sexistes... C'est aussi un mot très générationnel, qui fait débat.
Et ce n'est pas forcément le mot favori d'Elon Musk donc... Qui est surpris ?