Alix est visiblement toujours aussi dégoûtée par le milieu de la télé-réalité. Celle qui a créé un véritable raz-de-marée en novembre dernier en déclarant avoir vu une vidéo d'Illan en plein acte d'agression sexuelle est revenue sur cette affaire dans une interview accordée à Au féminin. Elle ne comprend pas que l'ex d'Isabeau n'ait pas eu de véritable sanction. En effet, le jeune homme est quand même apparu dans Les Princes de l'amour 9, malgré les mises en garde de l'ex de Benjamin Samat. "J'ai bien alerté deux productions. Sur le tournage, les nounous [celles qui s'occupent des candidats, ndlr] avaient reçu comme directive d'être plus vigilantes" dévoile-t-elle, avant de déclarer que les supposées victimes "sont allées se plaindre à la production et à ses agents, et qu'est-ce qu'il s'est passé ? On l'a quand même remis dans des émissions, il a quand même eu des placements de produits et il les a même harcelées sur les réseaux sociaux".
Alix regrette que ce genre d'affaires reçoive peu de considération, à l'image des accusations de harcèlement faites par des candidates des Anges : "comme on est considérés comme des gogoles de télé-réalité, seuls les médias spécialisés téléréalité s'intéressent à nous et ça ne va pas plus loin. Les filles des Anges dénoncent publiquement des choses, et ça ne va nulle part ! Pourtant, Les Anges ont déjà été condamnés par le passé pour des faits de harcèlement qui sont allés en justice".
La jeune femme va plus loin en révélant qu'il y aurait de "l'abus de confiance" : "les agents se présentent comme des mamans pour de jeunes personnes qui n'ont pas forcément de repères familiaux super stables et ensuite ces agents profitent de leurs faiblesses. Ensuite, quand tu te plains, on te dit que tu le cherches. Ce qui me révolte dans tout ça, c'est que ça fait des années que ça dure et que si c'est possible que des candidats se permettent ce genre de choses, c'est que parce que tout un système les protège autour".
L'ancienne candidate des Marseillais aux Caraïbes et des Princes de l'amour 8 explique aussi pourquoi elle a voulu s'éloigner de ce milieu : "Moi, j'ai claqué la porte au moment où j'étais tout en haut, et je sais pourquoi je l'ai fait. Aujourd'hui les productions, les agences exploitent les femmes et protègent les agresseurs. Les directeurs de chaîne sont très au courant de tous les potins et n'en tiennent pas compte"