Zaz malmenée. Depuis longtemps, l'artiste française la plus exportée fait l'objet de critiques dures, notamment sur son physique. Des attaques qui selon la chanteuse se font heureusement de plus en plus rares, comme elle l'a expliqué à metronews la semaine dernière : "J'ai l'impression que mon image est en train d'évoluer. On m'a souvent traitée de punk à chien, de fille qui ne se lave pas, alors que je n'ai jamais habité dans la rue". Cela ne l'a pas empêché, quelques jours avant sa participation remarquée aux Victoires 2014, d'être encore raillée dans l'émission de Bruno Guillon sur Fun Radio.
Et cette situation, l'animateur radio, qui était justement en charge d'interviewer les artistes de la soirée de France 2, s'en serait bien passé. "Est-ce qu'on peut arrêter, jusqu'à demain, les vannes sur Zaz, que je vais avoir en interview sur le plateau des Victoires de la musique ? A un moment, je vais me sentir mal" avait-il demandé à ses chroniqueurs jeudi dernier. Et de relancer quelques heures plus tard : "Est-ce que vous allez me foutre la paix avec Zaz ? J'adore Zaz ! Je suis fan de Zaz ! J'aime Zaz ! J'aimerais que Zaz soit ma femme !". Et comme prévu, Bruno Guillon a interrogé l'interprète de Comme ci, comme ça qui, dommage pour lui, avait visiblement tout entendu et lui a d'ailleurs fait savoir.
"Alors ? Ca sent bon ? Sens, sens ! Regarde les dents !", lui a-t-elle demandé avec ironie à la fin de leur entretien, ce à quoi l'animateur a répondu par des excuses en direct qu'il a commentées lundi matin sur Fun Radio. "J'ai mis un peu mes testicules sur la table" a-t-il expliqué, avant de raconter que leur première rencontre a été particulièrement tendue : "Dans les coulisses [...] elle est passée à côté de moi - je ne l'avais jamais vue - et elle me regarde sans me dire bonjour ni rien et elle me dit 'Ca va ? Je ne sens pas trop fort ? Tu n'as pas peur que mes poux te sautent dessus ? La tenue, ça va ? Mes dents ?".
Le principal est qu'il n'y ait aucune animosité entre eux. "Elle a dit qu'elle s'en fout qu'on se foute de sa gueule mais que, globalement, toujours la même vanne, voilà..."