Cyril Schreiner, alias Cyridicule, a-t-il réellement bouché ses canalisations et celles de ses voisins en remplissant sa baignoire d'"Orbeez", ces petites perles multicolores qui gonflent au contact de l'eau ? A-t-il réellement reçu un courrier de la mairie l'informant du dépôt d'une plainte auprès de la gendarmerie ? Alors que les internautes se montraient de plus en plus suspicieux, un journaliste a contacté la mairie de la ville où il habite, laquelle a affirmé qu'il s'agissait d'une "supercherie".
Depuis, l'influenceur reçoit de nombreuses critiques, à tel point qu'il a partagé un message demandant aux haters d'arrêter : "Vraiment j'en peux plus de me faire insulter sur tous les tweets toutes les secondes, à chaque post que je fais. Bref, que vous y croyez ou pas, je m'en fous, je partage mon histoire, j'espère m'en sortir au maximum et je vous partage ça, comme je le fais depuis 3 ans", a-t-il écrit hier. Visiblement, cela n'était pas suffisant pour calmer les choses puisque, ce mercredi 4 mars, il a pris la parole en story, pour pousser un coup de gueule. "C'est vraiment de pire en pire,je me fait harceler de partout. J'en peux vraiment plus. Je ne pensais vraiment pas que ça allait aussi loin. J'ai l'impression que j'ai tué quelqu'un. Toutes les secondes je me fait critiquer et harceler. Tous les médias n'arrêtent pas de m'appeler, de venir chez moi, d'interroger tous le village. Ça a pris des proportions énormes pour un tout petit truc de merde. Vous allez me dire que je l'ai cherché, mais je ne pensais pas. Moi je partage juste ma vie comme d'habitude sur les réseaux."
Il préfère attendre un peu avant de partager la suite de son histoire : "pour l'instant, je ne peux pas avec toute la presse, ça me met une pression énorme. Je vais tout poster quand la situation sera réglée, quand les journalistes auront arrêté de me harceler. Clairement, c'est du harcèlement. Tout le monde dévoile mon adresse et dit où j'habite, tranquillement". Il explique que les personnes s'arrêtent devant chez lui : "J'en peux plus, laissez-moi tranquille. Vous n'avez pas d'autres choses à faire ? Je me sens tellement en insécurité. J'ai l'impression que je peux me faire braquer chaque seconde, chaque minute. j'ai même peur qu'on vole mes chiens."