Harry Potter est votre saga cinématographique préférée ? Vous ne passez pas une année sans vous faire un marathon ? Vous pensez tout connaître des coulisses de cette franchise ? Un conseil, ne lisez pas cet article. Pour quelle raison ? Après avoir découvert les révélations de Daniel Radcliffe, vous ne verrez plus ces films de la même façon.
Interrogé par Hot Ones sur la saga qui lui a permis de se révéler au monde entier, l'inoubliable interprète du sorcier à lunettes en a en effet profité pour dévoiler une anecdote aussi WTF qu'improbable concernant le tournage dans la salle de classe de McGonagall. "Je me dois raconter cette histoire. Premièrement, il y avait énormément d'animaux dans cette pièce" a-t-il confié dans un premier temps, d'un ton hésitant, avant de poursuivre, "Il devait y en avoir un peu plus d'une soixantaine, même si je ne crois pas qu'ils étaient toujours tous ensemble sur le plateau".
Et si le comédien a longuement hésité à se confier sur cette séquence, c'est parce que l'un de ces animaux avait un comportement qui ne collait pas du tout à l'esprit familiale d'Harry Potter, "Dans cette scène qui prend place pendant le cours de métamorphose, il y avait une sorte de singe qui était enfermé dans une cage. Or, il n'arrêtait pas de se masturber dedans, c'était en continu".
Puis, Daniel Radcliffe l'a ajouté, là où "les autres animaux avaient un bon comportement en règle générale", Rupert Grint (Ron) a de son côté été victime d'une autre créature, "Je crois me souvenir que Rupert s'est fait pisser dessus par une chauve-souris". Loser jusqu'au bout ce Ron.
A noter que l'acteur a également profité de cette interview pour mettre fin à une rumeur le concernant sur les tournages : non, il n'a pas cassé près de 160 lunettes durant la production, "Je n'ai clairement pas brisé autant de paires. Voire quasiment pas".
Par contre, il l'a confessé, il a effectivement broyé près de 70 baguettes magiques, "J'en ai définitivement cassé beaucoup parce que je n'arrêtais pas de jouer de la batterie sur mes cuisses avec. Et du coup, toutes les trois ou quatre semaines, elles commençaient à se fissurer puis à se briser." Heureusement pour lui, il a pu compter sur la meilleure équipe technique, "J'allais ensuite m'excuser auprès de l'accessoiriste qui me disait, 'S'il te plait, arrête de battre'. Ils étaient tous vraiment très très gentils avec nous, ils toléraient beaucoup plus de choses qu'ils ne l'auraient fait avec un adulte".