Fini Marseille pour Jessica Thivenin et Thibault Garcia. A cause du harcèlement des fans, les amoureux ont quitté leur villa du sud de la France pour partir vivre à Dubaï, aux Emirats Arabes Unis. Interviewés dans le magazine Public,ils ont confié être très contents de leur décision. "Je pars avec l'idée qu'on ne reviendra pas en France" a même révélé celle que vous pouvez actuellement suivre dans Les Marseillais Australia sur W9.
"On est contents de voir des gens dans la rue, mais à Marseille, ils venaient sonner chez nous en plein milieu de la nuit" se souvient Jessica Thivenin, "La nuit, j'avais peur d'aller de la chambre à la cuisine. Si Thibault dormait, je ne traversais pas la maison toute seule".
Thibault Garcia a précisé : "Quand on est dans la rue, ça nous dérange pas, mais dans l'intimité, c'est lourd". L'ex de Julien Tanti qui sera peut-être la marraine de son enfant a raconté une anecdote flippante : "Cet été, j'étais au bord de la piscine en train de bronzer les seins à l'air, je lève la tête, et là je vois des yeux dans les buissons, j'ai vraiment flippé. C'était open nibards quoi !".
Pour le beau brun, "ça a pris une trop grosse ampleur". "En vérité, j'étais à bout. Je n'en pouvais plus des gens qui venaient chez nous. Je flippais pour Jess quand je n'étais pas à la maison. Je devenais parano et Jess aussi. Ça nous bouffait la vie" a-t-il continué d'expliquer.
Et lorsque la journaliste fait remarquer à la candidate des Marseillais Australia qu'ils ont "les mêmes problèmes que Madonna", elle lui répond : "Je ne crois pas, parce qu'elle, elle a des agents de sécurité, des bodyguards. Moi je n'ai personne qui s'occupe de ma sécurité dans la rue".
Et comme exemple, Jessica Thivenin se rappelle : "L'autre fois, j'avais du papier toilette, du produit vaisselle dans les mains, et des gens m'ont arrêtée 20 fois pour faire des photos. C'est gentil mais une photo, plus une autre... En fin de compte, je mets une demi-heure pour faire trois pas". Au moins, "à Dubaï, les gens suivent les règles" donc "je vais retrouver une certaine liberté".