Décidément, les maladresses de Jessica Thivenin font énormément réagir sur les réseaux sociaux, ces derniers temps. Il y a quelques mois, la star de télé-réalité a cassé sa voiture de luxe et s'en est amusée. Cela a évidemment indigné de nombreux internautes, qui n'ont pas tardé à la critiquer. Un peu plus tard, ce sont ses propos sur la médiatisation des enfants qui a fait hurler la toile.
Cette fois, c'est la vie intime de la star des Marseillais qui pose problème. En effet, dans une vidéo Youtube, elle a confié qu'il lui arrivait parfois de se "forcer" à coucher avec son mari, Thibault Garcia.
Elle a répondu à la question d'un fan qui lui a demandé : "Jess, est-ce que tu t'es déjà 'forcée' de passer à l'acte ?". "Oui bien sûr ! Évidemment que je me suis déjà forcée", a affirmé Jessica, tandis que Thibault a "blagué" : "moi aussi, je l'ai déjà forcée".
"Non, je me suis déjà forcée, mais c'est juste au démarrage que je me force. Après, comme je vous ai dit, il arrive toujours à me stimuler et à me mettre bien", a-t-elle ajouté, précisant ainsi qu'elle ne se forçait pas pendant le rapport, mais que parfois, il lui fallait un peu de temps avoir d'avoir vraiment envie.
Depuis, l'extrait fait le tour des réseaux sociaux et choque les internautes. La blogueuse Shayara TV a d'ailleurs partagé l'extrait sur son compte Instagram, et de nombreuses personnes ont partagé leur colère dans les commentaires.
"C'est soit elle cède, soit il fait la gueule... C'est tellement problématique de dire ça publiquement, on rend normal le fait de coucher sans véritable consentement, sous la contrainte pour pas vexer monsieur 🤢", "Le message qu'elle véhicule, c'est que le corps de la femme appartient à son mari et qu'il a le droit d'en disposer comme il l'entend... c'est lamentable...", "Entre n'être pas très motivée au début et se forcer, y a une grosse différence. Personne ne devrait avoir à se forcer. Surtout si c est juste pour l'égo de l'autre", "Je comprend ce qu'elle a voulu dire, mais aucune femme ou homme ne devrais se forcer sous peine de vexer l'autre...", peut-on lire, entre autres.
En France, la notion de consentement n'est actuellement pas spécifiquement mentionnée dans le code pénal. Un viol ne peut être qualifié qu'en fonction de quatre critères : la violence, la contrainte, la menace et/ou la surprise. En mars dernier, Emmanuel Macron s'est prononcé pour une inscription dans le droit français de la notion de consentement.