Si à la télé, on voit toujours Jessica Thivenin hyper souriante et toujours de bonne humeur, c'est une autre facette de sa personnalité qu'elle a décidé de montrer dans son livre "C'est tout moi". La candidate phare des Marseillais y parle de son enfance en caravane, sa vie avec Thibault Kuro, la chirurgie esthétique, sa dépression à cause de la notoriété, son déménagement à Dubaï, les haters, mais aussi des violences conjugales dont elle a été victime. "J'ai reçu des coups, j'ai eu des blessures, des hématomes", explique-t-elle dans les pages de son bouquin.
Il ne faut pas avoir peur de partir
Si Jessica Thivenin a décidé d'écrire ce livre c'est pour permettre à sa communauté d'en savoir plus sur sa vie et permettre aux haters de ne pas la critiquer dans le vent : "ils ne savent pas d'où je viens et ce que j'ai vécu. Ce n'est pas pour qu'ils changent d'avis, mais au moins, s'ils veulent juger, ils peuvent le faire avec un support", confie la chérie de Thibault Kuro en interview avec PRBK avant de revenir sur les violences qu'elle a subi par le passé à cause de ses ex.
Justement, qu'est-ce qui l'a poussée à en parler maintenant ? "Il y a encore quelques années, je pensais que c'était impossible de trouver quelqu'un de pas violent et infidèle. Je me suis dit que ça allait être toujours comme ça. Finalement, je suis mariée avec Thibault aujourd'hui (...) Même si les relations sont difficiles, il ne faut pas avoir peur de partir. Je suis la première à comprendre ces femmes qui restent et qui ont peur (...) En général, c'est souvent ta faute, tu te remets en question et tu es sûr que la dispute est partie à cause de toi", nous raconte Jessica.
Il suffit qu'il y ait une dispute ou des cris un peu trop forts...
Même si aujourd'hui, la candidate des Marseillais Asian Tour a réussi à se sortir de cet enfer, il lui reste encore des réflexes comme elle l'avoue à PRBK : "Il suffit qu'il y ait une dispute ou des cris un peu trop forts. Je me souviens, une fois je me suis disputée avec Thibault, il criait fort, sans m'insulter ni être violent, mais quand il s'est énervé et qu'il était pas loin de moi, j'ai automatiquement fait comme ça (mettre sa main devant le visage, ndlr). Il m'a dit 'mais je te taperai jamais, je te lèverai jamais la main dessus."
L'interview de Jessica Thivenin est à retrouver en intégralité dans notre diaporama.
Propos recueillis par Lola Maroni. Contenu exclusif. Ne pas reproduire sans citer PureBreak.com.