"Je voulais me diversifier, être enfin accompagnée d'une équipe" nous a expliqué Karima Charni quand on lui a demandé pourquoi elle a accepté de co-animer Le Daily Mag. Et heureusement pour elle, le courant est tout de suite passé avec Benoît Dubois et le reste de l'équipe. Ce qui n'aurait pas forcément été le cas avec les anciennes chroniqueuses du Mag de NRJ 12 : "J'aimais bien le boulot de Matthieu (...). J'avais un peu plus de mal avec les filles qui entouraient l'émission en revanche (...). J'aime quand les filles sont rigolotes, jolies, avec de la personnalité et un cerveau. Peut-être que ces filles en avaient, mais elles ne le montraient pas. Elles montraient plus leur décolleté que leur cerveau" a confié la jeune femme qui défilera prochainement au Salon du chocolat 2015.
Puis, après avoir confié qu'elle ne prenait pas en compte les critiques gratuites ou encore qu'elle était fière de l'émission, Karima Charni est revenue sur les rumeurs de tensions : "Si c'était le monde des Bisounours, je pense qu'on s'ennuierait. Si on avait pas de personnalité, je pense qu'on s'ennuierait également. De temps en temps il y a des petites tensions, mais rien de grave" a t-elle lancé.
Et concernant les critiques dont est victime Capucine Anav ? Elle ne les comprend pas et a tenu à la défendre : "Il ne faut pas oublier qu'elle est jeune (...), c'est sa première émission en tant qu'animatrice (...). Cette année, elle doit leader une émission et elle apprend. Ce que j'ai aimé, c'est son honnêteté de dire 'je passe de chroniqueuse, à animatrice. Laissez-moi le temps'. Et elle bosse. Je suis très contente et fière d'elle, parce qu'elle commence à prendre le dessus sur toutes ces critiques (...). Les gens oublient que l'on est des êtres humains". Et de préciser qu'il n'a jamais été question de la remplacer comme on a pu le lire dans Public par exemple : "Les gens qui disent que je vais remplacer Capucine ou que l'émission va s'arrêter prochainement, je ne sais pas d'où vous tirez vos informations exclusives. Mais vous avez mon numéro, alors appelez-moi les gars".
L'interview est à retrouver en intégralité dans le diaporama