En 2010, la vie de Laury Thilleman a changé pour toujours. C'est en effet cette année-là que la jeune bretonne a été sacrée Miss France pour l'année suivante. Et on peut dire que cette dernière a su rebondir puisqu'elle est aujourd'hui animatrice pour des émissions de France Télévisions telles que Les Victoires de la musique (pour laquelle elle a été sévèrement critiquée) ou encore La Fête de la musique qu'elle s'apprête à animer ce 21 juin 2023 avec Garou sur France 2.
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Qu'on se le dise, regarder Laury Thilleman est toujours un plaisir pour les yeux et la jeune femme n'a pas vraiment changé depuis le début de sa médiatisation en 2011. A-t-elle pour autant déjà pensé à passer le cap de la chirurgie esthétique ? "Ce n'est pas ce que je prône alors j'espère ne jamais y passer", a-t-elle avoué lors d'un nouvel entretien accordé à Télé-Loisirs.
Cependant, si Laury devait retoucher son corps, ce serait deux choses bien précises. "Je n'ai pas encore osé franchir le pas mais si c'était le cas, je ferais de la chirurgie réparatrice... J'ai un mélasma (une tâche formée par le soleil) qui s'est créé en faisant du surf. Et s'il y a possibilité de faire de la chirurgie esthétique pour un plateau tibial, why not... Parce que j'ai les genoux en vrac !", avoue-t-elle tout en se demandant : "à 40 ans, ça va donner quoi ?".
Elue plus belle femme de France en 2011, Laury Thilleman n'a pourtant pas échappé aux critiques sur son physique (eh oui...). "À l'époque, on m'a critiquée sur mon nez, sur mes dents. C'est une sacrée claque quand tu reçois plein de réflexions du genre 'C'est quoi ce nez ?', 'Elle a un sourire de cheval !'. C'était d'une telle violence !", se souvient-elle auprès de nos confrères.
Heureusement, cette période ingrate est désormais derrière elle. "Maintenant, je prends du recul... Je me sens bien mieux aujourd'hui !", assure-t-elle. "J'ai un fort taux de 'yang' en moi (on ne dit plus 'garçon manqué' maintenant). Tout le monde pense que je suis 'full' féminine mais je pense que j'ai toujours ce truc en moi un peu naturellement, et qui s'est exacerbé après Miss France... J'ai envie de dire : 'Moi aussi je peux être un bonhomme !'". C'est dit !