Nabilla Benattia continue de surfer sur la vague de son "Non mais allo". Ses dernières "actus"? Une apparition sexy et huilée dans le clip de Make the Girl Dance, un mariage bidon à Las Vegas et une altercation avec un agent de la SNCF. Un parcours de starlette de télé-réalité qui a poussé Libération à lui consacrer sa 4e de couv. "Cette luciole venue de la télé-réalité aura franchi le seuil de trois institutions médiatiques, Le Grand journal de Canal+, Match et les colonnes enrubannées de cette dernière page de Libération", résume Renaud Revel, de l'Express, sur son blog.
Ils l'ont voulu, ils l'ont eu. Après deux mois d'attente, un journaliste de Libération a enfin pu rencontrer la bimbo du moment pour lui tirer son portrait. Une interview réalisée dans un "resto classieux de Paris XVIe", en présence de "son ministre de la com", décrit Rachid Laïreche. Encore une fois, Nabilla prouve qu'elle a bien retenu sa leçon. La Suissesse élude proprement les questions judiciaires, puis livre le discours qu'on connait déjà sur le soutien de sa mère et l'abandon de son père. Jusqu'ici, tout va bien.
Nabilla parle ensuite amis, amour et carrière. Puis vient, enfin, la question du physique, acteur principal de sa notoriété il faut l'avouer. Mais la brune à la "chevelure de jais" n'en est plus persuadée : "Je pensais que mon physique était mon attrait numéro 1 mais ma personnalité a pris le dessus". Une personnalité à qui l'on doit des petites phrases plus ou moins idiotes, et plus ou moins drôles. La dernière par contre, qui clôt l'interview, n'est pas drôle du tout : "Eh t'as vu que Jean-Marie Le Pen a dit que j'avais trop des beaux seins. Franchement, il est trop marrant ce mec!"