"Je regardais les news un peu en France, franchement, il faut dire la vérité, ce n'est vraiment pas un endroit de safe. Ça, c'est vraiment un truc qui m'angoisserait d'habiter en France avec ma famille, et de me dire que y a des gens qui pensent à venir chez moi me voler... Si vous regardez bien, il y a peut-être 70% des célébrités qui se sont fait cambrioler, frapper, qui sont traumatisées...", a commencé Nabilla Benattia.
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"Après, il y a du vol de partout, même moi, ici, je me suis fait voler des sacs. Mais je trouve qu'il y a quand même un certain niveau d'insécurité en France. Dites-moi si je me trompe, parce que moi, je n'y vis plus. Et pour être honnête, je suis bien contente de ne plus vivre en France. C'est un pays que j'adore, c'est mon pays, celui de mes parents, mais c'est juste que je ne me sens pas, en tant que personne connue, d'habiter en France. Pourtant, quand j'y vais, les gens sont trop cools dans la rue, je passe de trop bons moments, je discute avec tout le monde... Je kiffe, mais y habiter... Je ne dormirais pas tranquille", a poursuivi celle qui a récemment déclaré qu'elle ne se sentait même plus chez elle à cause de certains employés.
"Tous les gens que je connais se sont fait cambrioler. Tous. Donc vivre avec de la sécu chez moi, ce n'est pas trop mon truc non plus. Ça fait peur. Je suis encore tombée sur une info ce matin, je me dis 'le pauvre gars quoi', ça fait flipper", a ensuite déploré la femme de Thomas Vergara, avant d'évoquer sa propre expérience : "Quand je repense à tout ce qu'on m'a volé dans les cambriolages, j'aurais pu acheter un appartement. Un bel appartement dans le 16e. Vous allez dire problème de riche, mais problème de pauvre aussi, parce qu'ils ne cambriolent pas que les riches. Ils cambriolent aussi les gens qui ont juste ce qu'il faut pour vivre. Ça, c'est le pire".
"Le matériel, honnêtement, ça va, ça vient. Tant qu'on ne touche pas à ma famille ça va. Ça me saoulerait un peu, mais je ne vais pas pleurer pour un sac Hermès. Par contre, si on touche à mes enfants, si on fait peur à mes enfants, oui, je risque de pleurer et je risque de très mal le vivre. Mais bon, le matériel, tant que ça ne m'empêche pas de manger, ce n'est pas si grave. Ce sont eux qui iront en prison. Moi, je ne pourrais pas vivre en volant les gens, c'est pêché en fait. Je pense que ces gens-là ne sont même pas croyants en fait", a conclu Nabilla.
Une chose est sûre, nous ne sommes pas près de revoir Nabilla habiter en France un jour !