Sur Netflix, les séries et films érotiques ont autant la cote que les documentaires "true crime". Des remakes de classiques comme Liaison Fatale aux feuilletons sulfureux type Obsession, la plateforme la plus pop nous inonde régulièrement de propositions indécentes. Et ce n'est pas fini. Car un tout nouveau film s'apprête à faire monter la température : Fair Play.
Fair Play suit une histoire de fesses entre deux collègues de bureau, interprétés par Alden Ehrenreich et Phoebe Dynevor - que les fans de La Chronique des Bridgerton connaissent bien. Or, comme souvent dans ce genre de films, mélanger taf et corps à corps n'induit rien de bon et la descente aux enfers s'annonce aussi redoutable que folle. Au programme ? Manipulations, toxicité, perversités qui dépassent le simple cadre charnel. Une recette qui a fait ses preuves !
Passé par le prestigieux Festival du film indépendant de Sundance (la Mecque des perles indés) avant d'être racheté par Netflix pour la modique somme de 20 millions de dollars (c'est dire si le jeu en valait la chandelle), Fair Play promet d'être aussi chaud qu'un été en pleine crise climatique. Surtout grâce à son duo d'acteurs très glamour dont l'alchimie transparait déjà à travers les premières images aussi culottées qu'excitantes. Mais il faudra encore attendre le 13 octobre, date de mise en ligne, pour goûter à la chose. Hâte !
Ce qui devrait faire la grosse différence avec Fair Play, c'est son analogie entre monde du travail et sexe. Rivalités, pressions psychologiques, ascenseurs émotionnels et dynamiques de pouvoir seront au menu de ce film à sensations hot comme il faut. Comme le relate Collider, cul, argent et dramas constitueront la trame de ce film à suspens signé par la scénariste et réalisatrice Chloe Domont, bien décidée à "examiner les rouages complexes de la gestion des relations amoureuses sur le lieu de travail". Tout un programme.
Si ce projet a, comme ses prédécesseurs, fait appel à une coordinatrice d'intimité, la condition sine qua non pour garantir des scènes de sexe "safe" avec une parfaite alchimie, le regard féminin de la réalisatrice promet également une plus forte authenticité lors de ces séquences intimes, loin des clichés volontiers sexistes typiques de ce genre de films. Tant mieux : plus ça sonne vrai, plus ça fonctionne. Prometteur.
Alors que le teaser tutoie déjà les cimes des 4 millions de vues en 3 jours à peine, le public s'impatiente de retrouver l'étonnante Phoebe Dynevor dans ce projet intense. Et nous avec. Vivement le 13 octobre !