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Nicolas Bedos : retraite télé déjà annulée
Publié le 27 novembre 2013 à 18:00
Par Charlotte Vaccaro
Non, non, non, Nicolas Bedos n'a pas décidé d'arrêter la télévision. Alors qu'il avait annoncé sa "retraite" de chroniqueur, hier sur le plateau de "C'est au programme", l'écrivain a tout démenti, ce mercredi 27 novembre 2013 sur Twitter. Il sera même sur le plateau d'"On nest pas couché" samedi prochain.
Nicolas Bedos et la télévision, l'histoire continue Nicolas Bedos et la télévision, l'histoire continue© Abaca
Nicolas Bedos n'en a pas fini avec la télévision
Nicolas Bedos n'abandonne pas sa casquette de chroniqueur
Nicolas Bedos n'abandonne pas sa casquette de chroniqueur
Nicolas Bedos et la télévision, l'histoire continue
Nicolas Bedos n'abandonne pas sa casquette de chroniqueur
Nicolas Bedos n'abandonne pas sa casquette de chroniqueur
Nicolas Bedos n'abandonne pas sa casquette de chroniqueur
Nicolas Bedos n'abandonne pas sa casquette de chroniqueur
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Nicolas Bedos dément sa "retraite" télé sur Twitter

"J'arrête tellement la télé que je serais chez Ruquier samedi soir ;-)". Ce mercredi 27 novembre 2013, sur Twitter, Nicolas Bedos a démenti - avec ironie et sans oublier une grosse faute de conjugaison - qu'il allait arrêter la télévision. Hier, de nombreux médias ont en effet annoncé la "retraite" cathodique de l'écrivain qui, depuis septembre, est le chroniqueur "libre et gratuit" de Laurent Ruquier dans On n'est pas couché, certains samedis soirs sur France 2.

Quand Nicolas Bedos annonce

Pourtant, hier matin, sur le plateau de C'est au programme (France 2), Nicolas Bedos n'avait pas l'air de prendre le sujet à la légère. "C'est la télé qui m'a révélé, qui m'a créé (...) En même temps, ça fait beaucoup de tort à l'image d'écrivain que je peux être", expliquait l'ex de Doria Tillier, qui avait clashé Cyril Hanouna et Gad Elmaleh dans sa première chronique pour On n'est pas couché. Et quand Sophie Davant avait alors demandé, "Vous allez arrêter la télé ?", le fils de Guy Bedos avait répondu du tac au tac : "Oui, tout à fait". Visiblement, il fallait comprendre l'inverse.

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