Les Vieilles Charrues 2012 auront marqué l'histoire. Non pas par leurs concerts oufissimes mais pas les caprices de leurs stars ! Et oui, la programmation 2012 en a fait voir de toutes les couleurs aux organisateurs selon Le Parisien. Et contrairement à ce que l'on pourrait penser, ce ne sont pas les LMFAO ou Orelsan qui en ont fait le plus baver aux responsables du festival.
Bob Dylan, diva n°1 de l'édition 2012 !
Non, la diva numéro 1 des Vieilles Charrues 2012 n'est autre que Bob Dylan. Selon le journal Le Parisien, le chanteur aurait été plus qu'exigeant en coulisses. Non seulement il a fallu changer son heure de passage mais la star du rock ne s'est pas arrêtée là. Il a aussi demandé qu'on le transporte en bus et que la police l'accompagne dans tous ses déplacements.
Et, cerise sur le gâteau, il n'a pas voulu qu'on le photographie pendant son concert. Les écrans géants permettant à un plus grand nombre de festivaliers de pouvoir le découvrir sur scène n'étaient autorisés qu'à diffuser un plan fixe du chanteur. Résultat, une vraie catastrophe critique. Et il n'est pas le seul à avoir de "petites" exigences.
Sting ou le caprice de l'estomac
Pour Sting, les caprices passent par son estomac. Le chanteur connu pour avoir participé au groupe The Police a en effet demandé qu'on lui prépare trois menus différents le tout pour ses 35 membres d'équipe. Culotté !
L'insolite demande de Metronomy
Pour Metronomy, c'est un petit caprice insolite que révèle Le Parisien puisque les quatres musiciens auraient exigé qu'on leur fournisse... des paires de chaussettes. Auraient-ils complètement oublié de préparer leurs valises ?
La demande givrée de Rodrigo y Gabriela
Rodrigo y Gabriela, eux, avaient envie de se rafraîchir après leur concert. Ils avaient donc demandé un bac de glaçons pour se refroidir leurs bras après un show de folie. Une demande assez particulière à laquelle ont dû se plier les organisateurs.
La culture avant tout pour Garbage
Enfin, la palme de la demande la moins relou revient au groupe Garbage qui avait seulement demandé d'avoir dans sa loge le journal USA Today. Que Bob Dylan en prenne de la graine, un peu de culture, ça ne fait pas de mal !