Danse avec les stars 2025 : une candidate déjà prête à tout abandonner avant le premier prime ? "Il y a tout ce que je déteste..."

Rendez-vous le 7 février 2025 pour découvrir la saison 14 de Danse avec les stars sur TF1. Et à cette occasion, parmi les nouveaux candidats sélectionnés par la production, Julie Zenatti tentera de succéder à Natasha St-Pier, grande gagnante de l'an passé, en faisant équipe avec l'un des danseurs professionnels du programme.

Un nouveau défi important pour la chanteuse, qui ne lui correspond pourtant pas du tout. Invitée ce vendredi 31 janvier 2025 de Culture Médias sur Europe 1, l'ex-star de la comédie musicale Notre-Dame de Paris a confessé : "J'ai beaucoup hésité, parce que ce n'est pas du tout mon endroit."

Elle l'a en effet précisé : "Moi, je déteste la compétition, je déteste être jugée. Vraiment, il y a tout ce que je déteste a priori." Mais alors, pourquoi a-t-elle finalement accepté un tel projet ? "Il y a quand même ce truc d'aventure humaine" a reconnu Julie Zenatti.

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De même, à l'instar de Sophie Davant qui a dû apprendre à se mettre au sport, la chanteuse souhaite profiter du programme pour secouer son quotidien. "J'étais à un moment de ma vie où j'avais envie de sortir de ma zone de confort et de me confronter aussi un peu à moi aujourd'hui, a-t-elle expliqué sur Europe 1. Quand tout d'un coup on se retrouve dans un environnement qu'on ne connait pas, où il y a un défi physique, ça engendre un défi psychologique. Ça permet un peu d’avancer sur ses zones troubles."

Et si son passif dans le monde de la comédie musicale semble être un avantage, Julie Zenatti a révélé qu'elle partait au contraire de très loin. Pour quelle raison ? "Quand on danse avec quelqu'un, s'il y en a un des deux qui est faux, il ne se passe rien. Donc il n’y a pas d’élan et il n’y a pas de danse, a-t-elle rappelé. J'ai l’impression que l'enjeu dans ces premières semaines, c'est de trouver le chemin vers la personne et de la laisser entrer dans son univers." Le problème ? "Je suis extrêmement pudique donc c’est un sujet."