Le dérapage de trop. Depuis hier, Justin Bieber fait la Une de la presse people après avoir passé une nuit en garde à vue suite à son arrestation pour conduite dangereuse sous influence de drogue ou d'alcool. Malgré cela, c'est tout souriant et propre sur lui que le chanteur canadien s'est affiché sur ses désormais mythiques mugshots. Il n'a pourtant pas pu tenir son sourire Colgate très longtemps.
D'après People, l'interprète de Wait for a minute, qui a été libéré le 23 janvier, aurait perdu sa bonne humeur quelques minutes après que la justice ait établi le montant de sa caution (2.500 dollars). Sur le chemin du centre de détention, le petit-ami (?) de Selena Gomez aurait éclaté en sanglots. "Il a pleuré toutes les larmes de son corps" rapporte une source du site américain.
Mais avant de craquer, le chanteur - qui aurait avoué avoir bu de l'alcool, fumé des substances illicites et pris des médicaments avant les faits qui lui sont reprochés - aurait eu le temps de balancer le nom de son dealer. Et accrochez-vous bien : son "fournisseur" ne serait autre que sa mère. D'après TMZ, l'artiste aurait expliqué qu'elle lui aurait donné l'ordonnance des anxiolytiques qu'il aurait pris avant son arrestation.
Le véritable fautif dans l'histoire ne serait pourtant pas la matriarche de la famille Bieber mais en réalité le patriarche. Toujours selon TMZ, Jérémy Bieber, 38 ans, en bon père attentionné, serait l'une des personnes qui a aidé à bloquer le quartier où J.B. a organisé sa course illégale. Pire encore, quelques heures avant l'incident, il aurait accompagné son fiston en boîte de nuit, où ils auraient tous les deux consommé de la marijuana.
Si ces rumeurs se confirment, Justin Bieber et ses parents vont devoir se trouver un très bon avocat s'ils ne veulent pas se payer un séjour en prison.