Kendji Girac a frôlé la mort à cause d'une blessure balle survenue dans la nuit du 21 au 22 avril 2024. On a rapidement su qu'il était finalement hors de danger, mais depuis, on a eu très peu de nouvelles concernant la santé du chanteur. Sa femme, Soraya Miranda, en a donné au Parisien, ce dimanche 5 mai : "Kendji va comme quelqu'un qui a frôlé la mort, il est aujourd'hui en convalescence, ça va prendre du temps. Il est très fatigué, il se remet doucement. Il traverse cette épreuve avec énormément de force, autant psychologique que physique. Mais les nouvelles sont rassurantes. Il se repose, il va mieux et je suis extrêmement soulagée".
La maman d'Eva Alba a également expliqué comment elle allait : "Je vais relativement bien, du moins aussi bien que je peux l'être après ce qui s'est passé. J'ai quand même failli le perdre, et ma fille a failli perdre son père. Il aurait pu mourir ou être paralysé. C'est miraculeux qu'il soit en vie. Cela va prendre du temps, mais je suis confiante, on va surmonter cette épreuve".
Soraya Miranda est une femme très discrète et depuis qu'elle s'est mise en couple avec l'artiste en 2014, on la voit très peu dans les médias. Le fait d'être au centre de l'attention depuis plusieurs jours, ne lui plait donc pas du tout : "J'en souffre, car je ne l'ai jamais souhaitée et ne le souhaite toujours pas. En un instant, je suis passée de l'ombre à la lumière. J'espère que ça va cesser rapidement maintenant. Voir son nom, son visage dans les médias comme cela, c'est très oppressant. Heureusement, j'ai été entourée par ma famille, la sienne aussi et mes amis. J'ai, Dieu merci, énormément de bienveillance autour de moi. C'est très dur à expliquer ce sentiment. C'est comme si j'étais dans un cauchemar".
Depuis l'accident de Kendji Girac, de nombreuses rumeurs font surface et l'une d'entre elles a affirmé que Soraya avait quitté la France pour retourner en Suisse et qu'elle n'avait pas été voir son mari à l'hôpital. La principale concernée affirme au Parisien que c'est n'importe quoi : "C'est complètement faux. J'étais à l'hôpital avec lui, et je suis restée tout le temps à ses côtés. Depuis sa sortie de l'hôpital, nous sommes ensemble avec notre fille, évidemment. Sa convalescence va prendre du temps, et je vais rester à ses côtés avec notre fille. On a besoin de se retrouver en famille tous les trois. Comment a-t-on pu dire que j'avais quitté la France avec notre fille ? Je ne comprends pas comment de telles informations ont pu être publiées".
Concernant sa supposée "colère profonde", elle répond : "Je n'ai jamais été en colère. J'ai d'abord eu très peur pour sa vie, sous le choc, puis stressée et dans l'incompréhension, mais jamais en colère. Je n'ai pas tout lu pour me protéger, car je passais déjà un moment très difficile".
Soraya Miranda est également revenue sur toutes les révélations qui ont été faites publiquement par le procureur et s'est étonnée : "Je ne suis pas là pour juger le travail qui a été fait, mais j'ai été très étonnée qu'autant de détails de notre histoire soient dévoilés sans que nous le souhaitions. Pour moi, cela n'était pas nécessaire".
"Kendji ne m'a jamais fait de chantage au suicide, que les choses soient claires. Cela n'a jamais existé. Je n'ai jamais subi la moindre violence quelle qu'elle soit de sa part. Je suis catégorique. Il en est incapable. Comment peut-on faire de telles spéculations ? Je veux rétablir la vérité, c'est surréaliste tout ce qui a été dit. Comme je l'ai expliqué au procureur et à la police, au moment des faits, je n'étais pas dans la même pièce que Kendji, j'étais avec ma fille. J'ai juste entendu le bruit des placards, le coup de feu. Je me suis précipitée et quand je l'ai vu blessé, ça a été un choc. Le temps s'est arrêté, c'est comme si le monde s'écroulait, et je suis sortie chercher des secours", a-t-elle ajouté.
"Je suis une femme de caractère, j'ai été élevée dans une famille où les femmes se font respecter, et je n'aurais jamais supporté qu'il en soit autrement. Kendji est d'une gentillesse infinie. Tout le monde le sait autour de lui. Ceux qui commentent sans savoir font fausse route. Il est incapable de faire du mal à qui que ce soit, sauf finalement à lui-même. Il était depuis quelques mois dans une mauvaise passe, nous en parlions, je sais qu'il va la surmonter et je serai à ses côtés. Il est choqué de s'être infligé autant de mal à lui-même", a poursuivi la jeune maman, avant de conclure : "Je souhaite un retour au calme après tout ce qu'il s'est passé. Il va y avoir une longue période de convalescence pour lui. Il va devoir se ménager, se reposer, et réfléchir à ce qui s'est passé. Mais des jours meilleurs viendront, j'en suis convaincue. Je vais être avec ma fille à ses côtés".