Depuis la naissance de leur fils Swan Anthony Martial, Mélanie Da Cruz et Anthony Martial se font plutôt discrets, mais un événement est venu perturber leur bonheur cette semaine. Quel est-il ? Le mannequin Malika Semichi affirme avoir eu une relation sexuelle avec le joueur de Manchester United alors que sa petite amie était enceinte de quelques mois.
C'est dans une interview accordée à The Sun que la jeune femme de 20 ans a confié avoir rencontré le sportif dans une boîte de nuit à Paris et qu'ils auraient ensuite échangé des messages après l'accouchement de Mélanie Da Cruz : "il semblait vraiment intéressé par moi. Je savais qu'il avait une petite amie et un bébé en route, j'ai essayé de garder ça en tête (...) Dans l'un des messages, il m'a demandé si j'étais partante pour un plan à trois. Mais je ne voulais pas."
Malika Semichi explique ensuite : "il m'a harcelée pour un rendez-vous. Il souhaitait que je vienne le voir à Manchester, afin que personne ne soit au courant. Il avait tellement peur que sa petite amie le découvre. Je l'ai diverti un peu parce que je l'aimais tellement. Mais je savais que ça ne pouvait durer puisqu'il avait un bébé de trois mois à la maison." Un discours choc et surprenant.
Cette histoire, sortie dans la presse anglaise, a bien évidemment fait le tour de la Toile, mais aujourd'hui, Anthony Martial a décidé de prendre la parole afin de mettre les choses au clair une bonne fois pour toute : "il y aura toujours des gens mauvais, jaloux dans ce monde qui seront prêt à raconter des tas de conneries pour pouvoir exister mais grâce à dieu je sais sur quel chemin je vais avec la meilleure à mes côtés", déclare le chéri de Mélanie Da Cruz sur Instagram.
De son côté, Malika Semichi continue de tenir le même discours : "sachez que lorsqu'une histoire comme ça est publiée, et fait l'objet de gros titres dans les journaux internationaux, c'est qu'il y a des preuves irréfutables. Donc au lieu de passer votre temps à me demander si cela est vrai et pourquoi "je n'ai pas de preuve", c'est parce que les journaux ont décidé de ne pas tout afficher (...) Il y a eu vraie enquête derrière, vous seriez d'ailleurs choqués des preuves que j'ai."