Elue Miss France 2022, Diane Leyre n'a malheureusement pas réussi à décrocher le titre de Miss Univers 2023. Tandis que la mannequin était présente au Salvador ce week-end avec l'ambition de récupérer la plus prestigieuse de toutes les couronnes, un an après avoir été obligée d'annuler sa venue, la protégée de Sylvie Tellier n'a même pas réussi à se classer parmi les vingt finalistes.
Une contre-performance totalement inattendue au regard de son statut de favorite, mais qu'elle explique facilement. "La scène aura eu ma peau ! Lors du Preliminary show, je n'étais pas dedans. J'ai été perdue", a-t-elle ainsi soufflé auprès de TVMag. En cause ? "J'ai eu mon allergie à l'oeil avec le maquillage, le stress, c'était un tout."
Diane Leyre l'a effectivement rappelé, même si elle est désormais habituée aux podiums, défilés et à parler devant les caméras, cela ne l'empêche pas de ressentir parfois quelques angoisses. "La scène a beaucoup trop d'importance pour ne pas être prise en compte. On ne peut rien n'y faire, a-t-elle rappelé. Mais la scène, ce n'est pas mon truc".
En revanche, si la candidate ne regrette rien et assure garder le sourire aujourd'hui, "Quoi qu'il arrive je suis gagnante de mon titre, je suis hyper fière de rester Miss France à vie", elle ne gardera pas qu'un excellent souvenir de cette nouvelle compétition.
Après avoir confessé, "Certains commentaires disaient que j'aurais pu bosser plus", Diane Leyre a révélé qu'une partie des internautes aurait été trop loin à son encontre, "Après le Preliminary show, j'ai été victime de cyberharcèlement, j'ai reçu des critiques mais aussi une grande vague de haine".
Une situation inédite pour la Miss France, habituée à faire l'unanimité, qui la motive déjà à passer à la vitesse supérieure. "Je compte rebondir en utilisant cette expérience comme une force, a expliqué la prédécesseuse de Indira Ampiot. Je pense qu'il faut en parler. J'aimerais aussi m'exprimer sur l'échec et le fait de savoir rebondir."
Pour l'heure, on ne sait pas encore si la Miss France 2022 portera plainte contre les internautes en question, mais il est important de rappeler que le cyber-harcèlement est est puni d'un an d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende.