Début janvier 2023, Laura Lempika et Nikola Lozina ont annoncé leur séparation, quelques mois à peine après s'être dit "oui" dans le sud de la France. Le blogueur Varruecos a d'ailleurs révélé que la candidate "avait décidé de divorcer limite bien avant leur mariage télévisé car ça n'allait plus depuis un moment" et parce qu'"ils n'avaient pas le même rythme de vie".
Si Laura est restée à Dubaï, Nikola, lui, a choisi de rentrer en Belgique. Une décision qui n'a pas du tout plu aux internautes qui l'ont alors accusé d'abandonner son jeune fils Zlatan. "JAMAIS je n'abandonnerai mon fils", a-t-il répliqué face aux haters avant d'expliquer être rentré pour le bien de son enfant : "Je donnerais ma vie pour lui. Je suis justement en Belgique pour assurer son avenir et lui bâtir quelque chose de solide. La télé, ça ne durera pas vingt ans".
La mise au point de Nikola Lozina concernant son choix de retourner vivre dans son pays d'origine ne semble pas avoir convaincu ses fans qui continuent alors de le blâmer sur les réseaux sociaux. Le candidat du Reste du Monde a d'ailleurs partagé le message de l'un d'eux : "Tu détruis la vie, la mentalité, le bien-être, l'assurance, la joie de vivre, l'envie de grandir de ton fils en pensant à ton bonheur en retournant vivre en Belgique".
Pas de quoi impressionner l'ex de Laura Lempika qui a fait preuve de transparence. "Je vais être clair une bonne fois pour toutes. (...) Je n'habite plus à Dubaï car je ne m'acclimatais pas là-bas. Je ne bosse plus avec Shauna Events, je n'ai donc plus de "travail"", avoue-t-il. "C'est une des raisons pour lesquelles je suis retourné en Belgique, pour voir un autre horizon que les placements de produits et la télé-réalité. Vous comprendrez dans pas longtemps quels sont mes projets et mon choix".
Nikola l'assure, il meurt d'envie d'être avec son fils "mais ce n'est pas réalisable pour l'instant". "Je me bats ici, en Belgique, tous les jours pour lui bâtir un avenir durable et qu'il soit le roi quand il arrive ici. J'ai des leçons à recevoir de personne". Cela suffira-t-il à calmer les haters ?