Révélée dans Les Princes de L'amour 2, Sarah Fraisou enchaîne aussi bien les programmes télé que les polémiques. Connue pour son franc-parler et ses embrouilles à répétition, la candidate l'est aussi pour ses nombreux mariages.
Sa dernière union avec Mehdi lui a d'ailleurs valu de nombreuses moqueries de la part des internautes. "On attend le divorce dans deux mois, merci à vous et bonne nuit", "Bah si c'est pas la bonne cette fois abandonne, faut pas forcer comme ça mdr", "Sarah, mais pourquoi tu te maries aussi vite comme ça ??!", pouvait-on notamment lire sur Instagram. Incroyable mais vrai, son mari aurait même été grillé sur des sites de rencontres...
Plus récemment encore, Sarah s'est retrouvée au coeur de l'actu car elle a dû vendre sa maison pour retourner en location. "Je ne vais pas vous mentir, avoir la boule au ventre tous les trois mois pour payer le crédit, il faut assumer. Ce sont quand même de grosses sommes", s'est-elle justifiée. "Pour moi, ce n'est pas un échec. C'est une réussite. Il faut savoir gérer les choses. Il faut savoir ne pas se foutre dans la merde aussi".
Sarah Fraisou, qui a annoncé son retour à la télévision, n'est plus à une polémique près. Cette fois-ci, la candidate s'est elle-même mise dans la sauce après avoir annoncé vouloir aider la Turquie et la Syrie suite au violents séismes qui ont fait presque 40 000 morts. Si cela part d'un bon sentiment, Sarah a vite retourné sa veste en disant qu'elle ne pouvait finalement pas le faire en raison de... ses vacances. C'est en effet vers la Thaïlande qu'elle s'est envolée avec son mari, abandonnant alors ses projets d'aide humanitaire.
Forcément, cette annonce n'a pas été bien prise par les internautes. "Ah bah oui, c'est bête ça... Si tu le voulais vraiment, tu ne penserais même pas à tes vacances et tu irais", "Elle a encore perdu une occasion de se taire", "Je voulais aider mais j'ai piscine", "Ben reporte tes vacances ma soeur. C'est pas comme si tu ne pouvais pas le faire. Quand on veut vraiment, on peut", "Des vacances, ça se reporte au pire", pouvait-on lire. Ouch !