A peine arrivé à Sètes, Aaron Leclercq (Stany Coppet) se retrouve déjà au centre d'une intrigue compliquée dans Demain nous appartient. Suite aux meurtres des parents de Lisa (Naïma Rodric) et de Benoît (Jean-Baptiste Maunier), le médecin est aujourd'hui soupçonné d'être le responsable de ces tragédies. Un rebondissement inattendu pour le personnage, mais passionnant à suivre, qui connaîtra néanmoins une happy ending dès l'épisode du jeudi 23 mars 2023 sur TF1.
De fait, une question se pose : l'intégration d'Aaron Leclercq était-elle uniquement pensée pour les besoins de cette intrigue ou possède-t-il réellement un avenir dans la série quotidienne au-delà de cette affaire ? Là où les téléspectateurs semblent déjà prêts à le revoir dans de nouvelles histoires, rien ne semble encore décidé. Interrogé par Allociné sur son personnage, Stany Coppet a lui-même reconnu qu'il était loin d'être le plus développé à l'écran : "Il ne parle pas beaucoup, on sait peu de choses sur lui. Les gens attendent d'en voir plus sur ce personnage."
Puis, il l'a ensuite rappelé, alors qu'Aaron et Victoire possèdent un petit truc en plus qu'il serait intéressant de développer, il n'est pas certain que cette intrigue ira au-delà de ce flirt : "Il va falloir qu'ils aillent au-delà de cette "chasse". On verra comment tout ça évolue et si une vraie relation naît entre eux." Bref, rien de très rassurant pour les fans qui déjà attachés au médecin.
Toutefois, le comédien a promis qu'il était prêt à continuer l'aventure aussi longtemps qu'il le faudra. En plus d'annoncer à nos confrères, "Je n'ai pas de date de fin [sur son contrat]", Stany Coppet a révélé qu'il s'épanouissait grandement avec ce rôle, "Je prends beaucoup de plaisir à jouer dans Demain nous appartient donc j'espère que ça va s'inscrire dans la durée".
Bien évidemment, il a conscience qu'il n'aura jamais le dernier mot sur le futur d'Aaron, "S'ils décident de me planter un couteau dans le dos un jour, ce sera fini", mais il espère tout de même réussir à convaincre les créateurs de l'utilité de son personnage, "Ce que je peux dire c'est que je suis là, à la merci et à la disposition des auteurs. (...) S'ils trouvent que ça se passe bien je resterai".
On croise les doigts.