Le quotidien d'Amandine Pellissard et sa famille est peut-être suivi par des millions de personnes, que ce soit dans l'émission Familles nombreuses : la vie en XXL (TF1) ou sur les réseaux sociaux, mais cela ne signifie pas pour autant que cette tribu est la plus appréciée de toutes. La mère de famille n'hésite jamais à le confier, sa famille est régulièrement la cible d'un harcèlement numérique à base de moqueries et critiques.
Or, si Amandine était toujours passée outre jusque-là, elle a récemment révélé qu'une ligne venait d'être franchie. En cause ? Une lettre anonyme à destination de la toute la famille a récemment été réceptionnée à son domicile dans laquelle on pouvait y lire de nombreuses insultes et menaces à l'encontre des adultes comme des enfants. Une situation déplorable qui l'a donc décidée à réagir en allant porter plainte.
Malheureusement, la jeune femme l'a confessé au détour d'une interview accordée à Jordan De Luxe pour Télé-Loisirs, elle n'a pas trouvé le soutien qu'elle espérait auprès des forces de l'ordre. "On a voulu porter plainte. La police a refusé notre plainte, a-t-elle déploré. Ça n'est a priori pas assez fort et ils nous ont octroyé qu'une main courante."
Une situation qu'elle juge "honteuse", d'autant plus que la police n'aurait pas eu la meilleure des réactions. Après avoir martelé, "ils n'ont pas le droit normalement de refuser une plainte", Amandine a tout simplement dénoncé le comportement des agents qui étaient face à elle, "On s'est fait prendre de haut en nous disant 'Si il se passe quelque chose, au moins, ça laisse une trace'. On va attendre qu'il se passe quelque chose".
Un manque de coopération d'autant plus frustrant pour la famille Pellissard que le coupable pourrait ne pas être difficile à dénicher. "On a la preuve que c'est quelqu'un qui est localement pas loin, on a un doute, pas une identité, a-t-elle rappelé. On sait que c'est quelqu'un qui a posté ce courrier sur notre ville d'habitation, soit par le biais de La Poste, qui était déjà présent à La Poste, ce qui pourrait expliquer la connaissance de mon nom de jeune fille et de mon adresse (qui figuraient sur la lettre reçue, ndlr), ou en tout cas, qui a été posée dans une boîte jaune dans Alès, intra-muros".
Reste à savoir si ce coup de gueule médiatique fera avancer l'enquête ou, au contraire, la bloquera...