Besoin d'une bonne nouvelle en cette fin d'année ? C'est ce jeudi 12 novembre que TF1 débutera la diffusion de la saison 3 de Balthazar, sa série policière portée par Tomer Sisley dans laquelle il se glisse dans la peau d'un médecin légiste pas comme les autres, et Hélène de Fougerolles, qui y incarne une capitaine de police implacable.
Une nouvelle année très attendue des téléspectateurs, d'autant plus qu'elle nous permettra enfin d'avoir le droit à des réponses sur l'un des plus grands mystères de la série. Tomer Sisley l'a confié à 20 minutes, "On va enfin savoir ce qui s'est vraiment passé [concernant le décès de l'épouse de Balthazar]".
Le comédien n'est bien évidemment pas entré dans les détails afin de préserver la surprise, mais il a tout de même tenu à préciser qu'il ne s'agissait pas de simples paroles en l'air. Après deux années à tourner autour du pot, les scénaristes vont réellement plonger au coeur de tous ces secrets, "Je peux vous promettre que cette troisième saison apporte enfin des réponses, toutes les réponses aux questions que se posent Balthazar et les téléspectateurs, sur ce qui s'est passé il y a treize ans avec sa femme Lise qu'il n'arrive pas oublier." De quoi forcément nous intriguer et nous exciter.
Toutefois, n'allez pas imaginer que cette saison 3 sera donc plus sombre que les précédentes. Malgré l'approche d'un sujet aussi fort, Tomer Sisley assure que ces nouveaux épisodes seront finalement plus joyeux. "On a effectivement retrouvé la bonne humeur qui représente Balthazar. Cela fait partie de l'ADN du personnage" a-t-il ainsi confié, avant d'ajouter, "Ce garçon plutôt joyeux arrive à donner un peu de légèreté à des situations souvent dramatiques."
Et pour l'occasion, les auteurs de Balthazar semblent s'être amusés au moment de la conception des histoires. Ainsi, afin de ne pas se répéter et continuer à surprendre le public, cette saison 3 verra "chaque épisode avoir un véritable univers." Traduction ? "Il y a un épisode dans le registre fantastique où on imagine ce que cela donnerait si Lise n'était pas morte, un autre avec l'IGPN dans le ton de la comédie assumée." Bref, de quoi passer un bon moment durant ce confinement.