Britney Spears avait fait une déclaration choc pour lever sa tutelle, en juin 2021, en faisant de graves accusations. La chanteuse aurait notamment un stérilet contre son gré pour ne pas avoir d'autres enfants, alors qu'elle aimerait tomber enceinte de son chéri Sam Asghari, avec qui elle voudrait fonder une famille. Sous tutelle depuis 13 ans, gérée par son père Jamie Spears et sa cotutrice Jodi Montgomery, ces derniers sont en guerre depuis ses révélations.
Entertainment Tonight a expliqué avoir obtenu des documents déposés au tribunal de Los Angeles en Californie, aux Etats-Unis. "Mr Spears, en tant que tuteur de la succession, et Mme Montgomery, en tant que tutrice de la personne, devraient travailler en équipe pour s'assurer que les intérêts de Mme Spears sont respectés, qu'elle est sur la voie de la guérison et de la fin de sa tutelle, et qu'elle vit la meilleure vie possible" est-il écrit. "Au lieu de cela, Mr Spears a décidé qu'il était temps de commencer à pointer du doigt et à attaquer les médias (il s'est même opposé à la sécurité de Mme Montgomery au milieu d'un flot de menaces de mort), transformant ce qui devrait être une procédure de protection pour sa fille en un litige" est-il aussi indiqué.
Les fans de Britney Spears avaient lancé le hashtag #FreeBritney sur les réseaux, se doutant que leur idole n'allait pas bien. The Blast a révélé que le père de la star a lancé une enquête pour "laver son nom" contre les accusations de sa fille. Il chercherait à "se défendre contre les accusations de sa fille" et le tribunal "ne devrait pas mordre à l'hameçon" a précisé Jodi Montgomery.
Suite aux déclarations de Britney Spears, son père et sa cotutrice ont reçu des menaces de violences et menaces de mort. Et Jodi Montgomery aurait voulu avoir une protection suite aux menaces, mais les avocats auraient refusé "une telle dépense n'est pas raisonnable, nécessaire ou appropriée". Jamie Spears aussi aurait refusé les 50 000 dollars pour assurer la sécurité de Jodi Montgomery, car ça coûterait trop cher à sa fille et que d'autres personnes étaient également victimes de menaces.