Alors qu'il était invité sur le plateau d'Ellen DeGeneres, Jamie Dornan a fait une drôle de révélation. Sa femme Amelia Warner, avec qui il a eu deux enfants, n'a jamais vu Fifty Shades of Grey (Cinquante nuances de Grey).
Et non seulement la véritable épouse de l'acteur n'a pas vu le premier volet, mais elle n'a pas vu non plus les suites, à savoir Fifty Shades Darker (Cinquante Nuances plus sombres) et Fifty Shades Freed (Cinquante nuances plus claires), ce dernier sortant le 7 février prochain au cinéma. Peut-être n'a-t-elle pas très envie de regarder son mari dans une scène d'ébats sexuels avec Dakota Johnson, ça se comprend.
"J'imagine que ce doit être dur pour vous de rentrer à la maison quand votre femme vous a vu comme 'ce type' et vous devez vivre avec ça" a d'abord demandé Ellen DeGeneres à Jamie Dornan (à partir de 1,48 minute dans la vidéo, ndlr).
"Je veux dire, je suppose... Enfin j'aime penser qu'elle est plus amoureuse de moi que de ce type" lui a-t-il répondu, avant de confier qu'elle "n'a jamais vu les films".
Face à la révélation, l'animatrice américaine a voulu savoir : "C'est elle qui ne veut pas les voir ou c'est vous qui ne voulez pas qu'elle les voit ?". "Je ne veux pas lui acheter un ticket de cinéma pour ça" a alors réagi le comédien irlandais.
Celui qui incarne Christian Grey avait avoué à USA Today que sa femme "ne veut pas voir le film. Elle veut me soutenir, mon travail et moi. Elle sait bien que c'est de la fiction, mais ce n'est peut-être quand même pas si facile à regarder".
Egalement actrice comme son mari (vous avez notamment pu la voir dans Quills, la plume et le sang aux côtés de Kate Winslet et Joaquin Phoenix, ndlr), la mère de famille ne serait donc pas vraiment enchantée à l'idée de voir Dakota Johnson s'envoyer en l'air avec l'homme de sa vie.
Amelia Warner avait cependant expliqué à The Independent que Fifty Shades of Grey "n'a pas d'impact sur notre vie quotidienne". "Rien n'a changé dans nos vies depuis 50 Shades. Le plus gros changement a été d'avoir des enfants" avait-elle ajouté, "Nous vivons maintenant dans les Cotswolds plutôt qu'à Londres. Nous nous sommes extraits de la frénésie. On ne parle pas de nous dans les journaux locaux".