S'il y a bien un royaume sur lequel règne Kate Middleton, c'est celui des tabloïds. Pour le meilleur comme pour le pire (souvent le pire) la duchesse de Cambridge fascine comme aucune autre la presse people.
Et cette dernière a récemment révélé une chose que l'on ignorait jusqu'alors. Une anecdote qui remonte carrément à ses années fac. A savoir ? La signification réelle du surnom qu'on lui affublait durant ces années d'études. Des sobriquets, Kate en a plusieurs, mais un en particulier en dit long sur le sexisme dont elle fait régulièrement l'objet.
Evidemment, il n'a pas grand chose de mélioratif.
Comment appelait-on alors Kate, du temps de ces longues journées studieuses à l'université Saint Andrews, ce brillant établissement scolaire d'Ecosse fondé au quinzième siècle et mis sur le même plan que Cambridge et Oxford ? Simple : Kate Middleton était surnommée "La soeur glycine".
Mais pourquoi ?
Nous ne naviguons pas dans le féminisme le plus décomplexé à la découverte de ce surnom. Pourquoi ? Car il érige littéralement Kate Middleton en plante verte, déjà. Mais ce n'est pas tout.
Kate et sa soeur Pippa Middleton étaient surnommées les "soeurs glycines" car elles avaient, décrypte Madame Figaro, une "propension à grimper encore et toujours". Façon plus ou moins polie de pointer du doigt, moins leur ascension sociale, que leur opportunisme et leur carriérisme. Evidemment, un homme qui souhaite "grimper encore et toujours", c'est un ambitieux, mais une femme qui partage le même désir, c'est une... "Glycine".
En gros : une arriviste aux dents longues.
Preuve en est que beaucoup n'ont pas attendu la posture royale de Kate, ou la médiatisation très feuilletonnée de sa rivalité présumée avec Meghan Markle, pour l'encombrer de réflexions sexistes en tout genre. A en croire ce sobriquet, non seulement la duchesse était perçue comme une "belle plante", décorative, réduite à son physique, mais d'aucuns étaient à deux doigts de la qualifier de "mauvaise herbe". Très très classe.
Comme quoi, l'élégance n'est pas toujours "so british"...
Mais la duchesse s'en fiche comme de son premier tailleur haute couture : celle qui est également princesse de Galles préfère se vouer aux projets caritatifs, plutôt qu'aux cancans ou à la mauvaise nostalgie. En mai dernier encore elle soutenait une association sportive en ce sens. Bien joué Kate.