Parmi les fanzouzes de la famille royale, on trouve deux équipes : l'équipe Charles, et l'équipe Harry, l'équipe Kate, et l'équipe Meghan. Celles et ceux qui s'offusquent du moindre geste du couple conchié, et les autres, qui défendent bec et ongle ces amoureux qui ne semblent pas très appréciés de la Couronne...
Et une voix en particulier semble ne pas prôner la fin de ce clivage. Mieux : elle s'éclate même à déchaîner les passions de plus belle. Cette parole, c'est celle de la plutôt franche Kelly Osbourne, chanteuse, star de téléréalité (l'émission The Osbournes) et fille du hard rockeur bien connu Ozzy Osbourne. Dans le cadre du podcast I've Had It, la star a affirmé son soutien auprès du roi Charles tout en... dézinguant Harry.
Mais genre, vraiment.
Si l'expression "qui aime bien châtie bien" n'est pas la plus grosse absurdité du monde mais une réalité scientifique, alors Kelly Osbourne doit a-do-rer le prince Harry. On l'écoute : "Je pense que Harry est un puta*n de con. Oui. C'est un puta*n de con*ard. Il pleurniche, se plaint tout le temps...".
"Harry dit tout le temps : 'Malheur à moi, je suis le seul à avoir eu des problèmes de santé mentale, ma vie est si dure'... La puta*n de vie de tout le monde est compliquée ! Harry, tu étais le prince d'un puta*n de comté qui s'est déguisé en puta*n de nazi et maintenant tu essaies de revenir en pape ?".
Oui, c'est ce qui s'appelle être sans filtre. Pour celles et ceux qui n'ont pas "la réf", la chanteuse fait allusion au pire bad buzz de la carrière du prince Harry (à la vie pourtant loin d'être si tiède, à en croire les cinq cent pages de son pavé et best seller Le suppléant) : en 2005, la figure princière, alors âgée de 25 ans, avait effectivement arboré lors d'une soirée... un uniforme nazi. A la "surprise" de tout le monde. Et des tabloïds.
"C'est sûrement l'une des plus grosses erreurs de ma vie. J'ai eu tellement honte après. J'ai voulu me rattraper. Je suis allé à Berlin et j'ai parlé à un survivant de la Shoah", expliquera le principal concerné dix-sept longues années plus tard dans le documentaire Netflix Harry et Meghan.
Un scandale bien salé que personne n'a oublié. Surtout pas Kelly Osbourne.