Alors que Laure et Matthieu sont toujours aussi complices et proches et que Marianne est complètement sous le charme d'Aurélien, accusé d'avoir menti sur son célibat pendant Mariés au premier regard 2021, Clément, lui, a vu sa nuit de noces avec Laura prendre une tournure inattendue. Très méfiante des hommes à cause de son passé douloureux, la participante s'est confiée à coeur ouvert à son mari, mais ses révélations ont créé un certain malaise : "Pour moi, un homme est infidèle jusqu'à preuve du contraire", a-t-elle notamment avoué.
Cette phrase a surpris Clément, mais aussi les internautes qui ne se sont pas montrés tendres avec Laura suite à son comportement avec son époux : "Laura n'a pas besoin d'un mec, elle a besoin d'une thérapie", "elle a l'air hyper relou d'un coup. Fallait pas faire l'émission meuf", "t'as un souci de confiance et tu te maries avec un inconnu", "elle a confondu avec La Villa des Coeurs Brisés", "Clément il devrait lui facturer les heures d'écoute ! Le gars il est venu profiter de sa lune de miel et voilà qu'il doit jouer les psy", peut-on lire sur Twitter. Précisons quand même que la nuit de noces s'est finalement bien terminée : l'expert Pascal de Sutter a réussi à rebooster Laura avec ses conseils.
Face aux critiques sur les réseaux sociaux, Laura a rapidement pris la parole sur Instagram pour réagir et faire une mise au point sur le montage de l'émission de M6. Elle se dit notamment déçue de la production : "Je pense qu'en début de relation, il est normal de se confier sur son passé et d'expliquer où on en est et pourquoi on en est là (...) Je ne cherche pas un psy, mais un homme qui peut comprendre mon passé, être compréhensif et patient."
La participante de Mariés au premier regard 2021 poursuit : "Au bout de 6 000 fois la même question de la prod n'est-ce pas trop beau pour être vrai ? Ben tu flippes. Alors que si tu viens juste avec ton histoire sans que l'on te ressasse ton passé sans arrêt ben ça va mieux (...) Voilà 4 jours de voyage de noces où on s'est bien marré réduit à une discussion sur ma vie et me harceler pour savoir si je suis prête. Quel dommage. (...) En plus là, on remue bien le couteau dans la plaie."