Megaupload fermé© Megaupload
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Le site Megaupload n'est plus mais ce n'est pas pour ça que les pirates informatiques chevronnés se laissent faire. Après que le FBI ait fermé le site de téléchargement illégal, le collectif Anonymous a lancé des attaques virtuelles sur les sites du FBI, d'Universal Music, Justice.gov, Riaa.com ou encore Mpaa.org. La guerre virtuelle commence !
Pas touche à Megaupload semblent vouloir dire les membres du collectif Anonymous. Hier, jeudi 19 janvier 2012, le FBI menait une action d'ampleur en arrêtant les créateurs de Megaupload, l'un des sites les plus visités au monde. Sale temps pour les sites pionniers du téléchargement, vu que Napster a aussi fermé ses portes il y a quelques temps.
Le site d'échange de fichiers était le pilier du téléchargement illégal sur Internet et recensait près de 50 millions de visites chaque jour. Dans leurs efforts pour mettre fin aux activités illégales sur Internet, les membres du FBI ont donc fait fermer le site.
Mais du côté des pirates informatiques, on n'apprécie pas vraiment ce geste. Après le mouvement de Wikipedia qui a fermé son site pendant 24 heures, c'est le collectif Anonymous bien connu pour ses actions sur le net, qui a lancé l'opération #OpMegaupload déchaînant les foules sur Twitter.
Grâce aux efforts de pirates chevronnés, les membres du collectif ont rendu inaccessible dès l'annonce de la fermeture de Megaupload les sites du FBI, du groupe Warner Music, des départements de la justice mais aussi d'Universal, grand adversaire de Megaupload dans cette affaire. Certains artistes avaient d'ailleurs pris position dans ce conflit.
Le collectif a ensuite annoncé avoir réussi sa plus grande attaque à ce jour en piratant près d'une dizaine de sites dont certains étaient gouvernementaux. Le groupe a indiqué dans un communique : "Le FBI ne pensait quand pas s'en sortir comme ça, non ? Ils auraient dû s'attendre à nous voir".
La fermeture de Megaupload rentre dans le cadre de deux projets de loi : la loi SOPA (Stop Online Piracy Act, Arrêter les actes de piraterie en ligne) qui est débattue au Congrès américain et la loi PIPA (Protect Intellectual Property Act, Protéger la propriété intellectuelle) qui est discutée au Sénat américain.
La guerre virtuelle ne fait que commencer entre les autorités américaines et les pirates informatiques. Qui sait ce qui nous attend pour la suite...
Pas touche à Megaupload semblent vouloir dire les membres du collectif Anonymous. Hier, jeudi 19 janvier 2012, le FBI menait une action d'ampleur en arrêtant les créateurs de Megaupload, l'un des sites les plus visités au monde. Sale temps pour les sites pionniers du téléchargement, vu que Napster a aussi fermé ses portes il y a quelques temps.
Le site d'échange de fichiers était le pilier du téléchargement illégal sur Internet et recensait près de 50 millions de visites chaque jour. Dans leurs efforts pour mettre fin aux activités illégales sur Internet, les membres du FBI ont donc fait fermer le site.
Mais du côté des pirates informatiques, on n'apprécie pas vraiment ce geste. Après le mouvement de Wikipedia qui a fermé son site pendant 24 heures, c'est le collectif Anonymous bien connu pour ses actions sur le net, qui a lancé l'opération #OpMegaupload déchaînant les foules sur Twitter.
Grâce aux efforts de pirates chevronnés, les membres du collectif ont rendu inaccessible dès l'annonce de la fermeture de Megaupload les sites du FBI, du groupe Warner Music, des départements de la justice mais aussi d'Universal, grand adversaire de Megaupload dans cette affaire. Certains artistes avaient d'ailleurs pris position dans ce conflit.
Le collectif a ensuite annoncé avoir réussi sa plus grande attaque à ce jour en piratant près d'une dizaine de sites dont certains étaient gouvernementaux. Le groupe a indiqué dans un communique : "Le FBI ne pensait quand pas s'en sortir comme ça, non ? Ils auraient dû s'attendre à nous voir".
La fermeture de Megaupload rentre dans le cadre de deux projets de loi : la loi SOPA (Stop Online Piracy Act, Arrêter les actes de piraterie en ligne) qui est débattue au Congrès américain et la loi PIPA (Protect Intellectual Property Act, Protéger la propriété intellectuelle) qui est discutée au Sénat américain.
La guerre virtuelle ne fait que commencer entre les autorités américaines et les pirates informatiques. Qui sait ce qui nous attend pour la suite...