Moha La Squale accusé d'agression sexuelle et violences : une quatrième femme porte plainte
Publié le 16 septembre 2020 à 09:47
Par Lola Maroni | Journaliste
Lola Maroni est rédactrice pour le site Purebreak.com et notamment pour les rubriques TV, Musique et Buzz.
Moha La Squale ne risque pas de s'en sortir facilement cette fois-ci. Depuis plusieurs jours, des femmes l'accusent d'agression sexuelle, violences et séquestration : trois d'entre elles ont même porté plainte contre le rappeur, mais ce n'est pas tout. Une quatrième victime se serait elle aussi rendue à la police pour témoigner.
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Une quatrième plainte contre Moha La Squale

Les problèmes avec la justice continuent pour Moha La Squale. Après plusieurs séjours en prison et une arrestation musclée au mois de juin, le rappeur originaire de Créteil est aujourd'hui visé par des plaintes pour agression sexuelle, violences et séquestration. Les accusations ont commencé sur les réseaux sociaux, mais la situation est devenue sérieuse lorsque trois des victimes de Moha La Squale, âgées entre 23 et 28 ans, se sont rendues à la police.

Et si l'on en croit les infos de 20 minutes et BFM, une quatrième femme a déposé plainte le 11 septembre 2020. L'avocat des trois premières femmes a expliqué "qu'elles ont été auditionnées plusieurs fois sur les faits" tandis que 20 minutes a précisé que l'interprète de Luna n'a toujours pas été entendu par les forces de l'ordre. Ces histoires ont quand même provoqué le report de son nouvel album "L'Apache".

"Il a mis un oreiller sur ma tête"

Romy, Andrea, Luna et Ana (les trois derniers prénoms ont été modifiés) ont accepté de témoigner contre Moha La Squale et de raconter leur histoire avec le rappeur qui fait froid dans le dos : "Il me tirait par les cheveux tellement fort que la peau du crâne se décollait, j'avais des hématomes partout sur la tête", a confié Luna. De leur côté, Ana et Andrea ont expliqué : "Il me traitait de sale p*te (...) Il me disait que j'étais son esclave, son objet sexuel" et "Il a mis un oreiller sur ma tête. il appuyait très fort sur ma tête et je ne pouvais plus respirer. (...) C'est quelqu'un qui a un problème, une maladie mentale, pour être à ce point violent et terrible avec ses petites amies."

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