Bad buzz pour Free Sex, la dernière vidéo de Rémi Gaillard dans laquelle ce dernier mime, par effet d'optique, des actes sexuels avec des jeunes femmes croisées dans la rue. Critiqué sur les réseaux sociaux, le pote de Johnny Knoxville a aussi, et surtout, été insulté par Audrey Pulvar et par Roselyne Bachelot dans l'émission Le Grand 8. Traité entre autres de "sombre connard" par l'ex d'Arnaud Montebourg, l'humoriste envisage de ne pas en rester là. Ce samedi dans l'émission Clique, il a ainsi confié : "Ce matin je me suis posé la question, 'Est-ce que je les attaque pour diffamation ?' Je ne l'ai jamais fait parce que je n'ai pas d'avocat. Mais je suis prêt à reverser l'amende - si toutefois il y en a une, mais je pense que j'ai des chances de gagner car je ne suis pas un violeur ni un sombre connard - à une association contre les viols". A suivre.
Dans Clique, Rémi Gaillard a également tenu, une nouvelle fois, à défendre sa vidéo : "J'ai intitulé la vidéo Free Sex. Comment baiser gratuitement. Evidemment c'est une boutade, c'est potache, c'est une blague. Je suis quand même bien placé pour savoir ce que je pense. Ce que je pense, ce que j'ai fait, c'est de l'humour. Et c'est tout." Mais après avoir avoué que Free Sex avait "fait rire [sa] soeur mais pas [sa] mère", l'humoriste a toutefois ajouté : "Ma vidéo n'est peut-être pas de très bon goût. Ce n'est peut-être pas la meilleure inspiration que j'ai eu en 10 ans. Ca, je veux bien l'admettre. Mais ça reste de l'humour." Un début de mea culpa ? Peut-être puisqu'il a aussi adressé ses "plus plates excuses" aux féministes (modérées) choquées par sa vidéo.