A la rentrée 2017, TPMP a fait le plein de chroniqueurs. Parmi eux, Yasmine Golotchoglova, influenceuse et youtubeuse aux 18 000 abonnés, que l'on a pu voir dans une seule émission. Dans une vidéo publiée sur sa chaîne Youtube, elle revient sur son expérience sur C8, dont elle a gardé un mauvais souvenir. Tout a commencé en août dernier, lorsque H2O production lui propose de devenir chroniqueuse dans TPMP dès la rentrée. Bien que ce n'est pas une émission qu'elle suit, elle décide de passer tout de même le casting, qui s'est plutôt bien passé.
Mais avant même de faire l'émission test (filmée dans les conditions du direct) début septembre, elle est annoncée officiellement comme chroniqueuse de TPMP, alors qu'elle n'avait pas encore pris sa décision ni signé de contrat. "Et là, ça a été le carnage", raconte-t-elle, expliquant avoir reçu 10 000 abonnés en une journée et énormément de messages privés, ce qui l'a effrayé : "J'ai un peu peur de la notoriété, je n'aime pas trop ça, je n'aime pas être exposée". D'autant que certains balançaient plein de détails sur sa vie privée....
Ça ne s'arrête pas là : elle avoue avoir mal vécu l'émission test : "J'étais ultra timide, je n'étais pas à l'aise. Je bégayais et disais n'importe quoi. Quand je suis rentrée sur le plateau, je n'avais qu'une envie, c'était de pleurer, je tremblais comme une feuille. Je n'avais qu'une envie, c'était me casser parce que je ne me sentais pas à ma place", confie-t-elle, ajoutant "J'avais l'impression de ne pas être légitime. Je suis qui pour donner mon avis ? [...] Je croisais les doigts pour ne plus qu'on m'interroge. Je n'étais pas bien."
Suite à cette émission test, elle s'est sentie obligée de faire au moins une émission en direct, le 13 septembre, lors de laquelle elle était encore plus stressée. Problème de maquillage, de tenue... rien n'allait ! Avant même d'entrer en plateau, elle reçoit des tonnes de messages : "Je me suis dis merde qu'est ce que j'ai foutu, c'est pas pour moi j'ai pas envie d'être connue". Une fois en plateau, elle était mal à l'aise : "J'avais pas envie de dire de connerie, de passer pour une potiche. Je répondais hyper agressivement, je ne souriais pas, je n'étais pas bien". Elle précise qu'elle ne peut pas tout raconter car elle "pense avoir une clause de confidentialité avec eux". Elle a donc très vite décidé d'arrêter, d'autant que le salaire qu'on lui proposait n'était pas très élevé...